La reine américaine du talk-show Oprah Winfrey a relaté la semaine dernière un incident qui se serait déroulé dans une boutique de luxe suisse. La milliardaire des médias aurait demandé à voir un sac en crocodile étiqueté 35.000 francs suisses (environ 29.000 euros) et elle a rapporté à Entertainment Tonight que la vendeuse aurait refusé de lui montrer « parce qu’il était trop cher pour elle ».
Au cours de l’interview, Winfrey avait refusé d’indiquer la boutique où elle insinuait avoir été victime de racisme. A la suite de ce compte-rendu, l’office du tourisme suisse et le patron de la boutique, Trudie Goetz avaient présenté leurs excuses. Mais la vendeuse, interviewée anonymement, a nié les allégations de Winfrey, déclarant qu’elle n’avait fait que son métier en lui proposant de voir d’autres sacs, et elle n’a pas hésité à qualifier la star américaine de menteuse.
Les médias internationaux se sont jetés sur cette histoire sans poser aucune question et sans aucun scepticisme, laissant l’une des personnes les plus puissantes du monde s’attaquer à une vendeuse anonyme et sans défense. La parole de la milliardaire noire était beaucoup plus crédible que celle d'une vendeuse italienne. Mais depuis que cette dernière a affirmé que Winfrey avait menti, cette dernière essaye de se sortir de cet imbroglio avec des excuses qui n’en sont pas ; en réalité, elle a inventé toute cette histoire pour promouvoir son film «The Butler », un film qui évoque le racisme, estime John Nolte de Breitbart.com.
« La nuit dernière, Oprah a dit… ‘Je crois que l’incident en Suisse était seulement un incident en Suisse. Je suis réellement désolée qu’il ait pris de telles proportions. C’est volontairement que je n’ai pas mentionné le nom de la boutique. Je regrette d’avoir dit que cela s’était passé en Suisse’. (…) Que pensait-elle qu’il allait se produire lorsqu’elle est allée à la télévision nationale pour crier au racisme ? que les médias allaient tout simplement l’ignorer ? (…) Certains disent que le noeud central de cette rencontre n'est pas un problème racial, mais plutôt un problème de reconnaissance, Oprah est devenue furieuse parce qu’elle n’avait pas été traitée comme sa Majesté Oprah du fait que la vendeuse ne l’avait pas reconnue… Mais maintenant que l’employée a dit aux médias qu’elle avait été attaquée injustement, Oprah se sent un peu coupable », écrit TMZ.
Les médias internationaux se sont jetés sur cette histoire sans poser aucune question et sans aucun scepticisme, laissant l’une des personnes les plus puissantes du monde s’attaquer à une vendeuse anonyme et sans défense. La parole de la milliardaire noire était beaucoup plus crédible que celle d'une vendeuse italienne. Mais depuis que cette dernière a affirmé que Winfrey avait menti, cette dernière essaye de se sortir de cet imbroglio avec des excuses qui n’en sont pas ; en réalité, elle a inventé toute cette histoire pour promouvoir son film «The Butler », un film qui évoque le racisme, estime John Nolte de Breitbart.com.
« La nuit dernière, Oprah a dit… ‘Je crois que l’incident en Suisse était seulement un incident en Suisse. Je suis réellement désolée qu’il ait pris de telles proportions. C’est volontairement que je n’ai pas mentionné le nom de la boutique. Je regrette d’avoir dit que cela s’était passé en Suisse’. (…) Que pensait-elle qu’il allait se produire lorsqu’elle est allée à la télévision nationale pour crier au racisme ? que les médias allaient tout simplement l’ignorer ? (…) Certains disent que le noeud central de cette rencontre n'est pas un problème racial, mais plutôt un problème de reconnaissance, Oprah est devenue furieuse parce qu’elle n’avait pas été traitée comme sa Majesté Oprah du fait que la vendeuse ne l’avait pas reconnue… Mais maintenant que l’employée a dit aux médias qu’elle avait été attaquée injustement, Oprah se sent un peu coupable », écrit TMZ.
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