« Oui, c’est vrai, nous collaborons avec la préfecture et les mairies de Lyon. Cette collaboration prend essentiellement deux aspects :
informatif : nous tâchons de regrouper le plus d’informations sur les militants d’extrême-droite à Lyon : photos, adresses, situation familiale et professionnelle. Nous partageons ces renseignements avec les autorités compétentes.
Juridique : la loi est un outil redoutable. Bien maniée, elle peut permettre de porter de rudes coups aux fascistes en exploitant les vides juridiques ou dépoussiérant des textes tombés en désuétude (normes de sécurité, etc.) »