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14 sept. 2013

L’idéologie du genre ou la guerre sourde contre les garçons, les pères et les hommes

En cette rentrée 2013, l’idéologie du genre s’impose à nous car elle sera prochainement enseignée aux enfants dès l’âge de 6 ans dans le cadre du programme « ABCD de l’égalité ». Cette idéologie pénètre discrètement de très nombreux domaines de nos vies, dont le monde de l’entreprise, et il est aujourd’hui devenu urgent de comprendre sa logique politique pour en refuser la teneur.

Cette idéologie se développe derrière la recherche moderne de l’égalité et de la parité et à pour objectif de libérer la société, et les femmes, d’une hétérosexualité qui aurait été fabriquée par les hommes pour exercer une domination. L’idée qui fonde politiquement l’idéologie du genre professe que de tout temps la femme a été sous la domination de l’homme et qu’il est venu le temps de subvertir la société hétéropatriarcale. Nous contestons vivement cette approche idéologisée et caricaturale qui est poursuivie par les milieux féministes radicaux à l’origine de l’idéologie du genre.

Pour mieux cerner cette idéologie, découvrons ensemble la méthodologie des études de genre qui se déploie autour de trois critères très précis relatés dans un ouvrage pro-genre de référence [1] : 1. « faire éclater les visions essentialistes », 2. « appréhender les relations sociales entre les sexes comme un rapport de pouvoir », et 3. « ne pas analyser les rapports de genre indépendamment des autres rapports de pouvoir ».

1. Le premier critère des études sur le genre est de « faire éclater les visions essentialistes » en niant la différence des sexes. Une vision essentialiste consiste à attribuer aux femmes et aux hommes des caractéristiques immuables en fonction de leurs caractéristiques biologiques. Les sciences humaines et sociales questionnent les identités masculine et féminine, et, jusqu’à un certain point, ce questionnement est légitime. Cependant, il apparaît absurde de nier les qualités biologiques propres à chaque sexe. Si les idéologues du genre vont jusqu’à cet extrême, c’est pour les besoins de leur cause, car en partant du postulat que « homme » et « femme » sont des sujets complètement détachées du biologique et exclusivement construits par l’éducation, ils peuvent ensuite affirmer que si les femmes ne font pas les mêmes métiers que les hommes c’est par ce qu’elles n’ont pas été correctement éduquées par leur famille et la société. De là découlent les actuels programmes gouvernementaux de lutte contre les stéréotypes sexistes à l’école, à l’université, dans l’entreprise… Nous nous trouvons face à une utopie politique qui veut nier toutes les différences entre les sexes au nom d’un égalitarisme dogmatique.

2. « Appréhender les relations sociales entre les sexes comme un rapport de pouvoir », telle est une autre démarche des pro-gender. C’est-à-dire que l’on ne pourrait pas penser le masculin et le féminin l’un par rapport à l’autre sans penser à des rapports de force, de pouvoir et de domination. Ce critère positionne le gender dans le champ de la théorie marxiste : la femme serait le sexe oppressé et l’homme le sexe oppresseur, c’est donc bien dans une guerre des sexes que les idéologues du genre sont engagés aujourd’hui, de façon sourde, mais bien réelle.

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