En tant que socialiste national québécois je soutiens le Parti Solidaire Français, car c'est une organisation qui prône la fusion entre le patriotisme et le socialisme comme alternative aux horreurs du Nouvel Ordre Mondial américano-sioniste.
La ligne politique etidéologique correspond donc tout à fait à celle que je préconise et elle représente aussi l'alternative politique dont le mouvement indépendantiste québécois a besoin pour mener à terme son combat. Les camarades du PSF font preuve de bravoure et de ténacité dans leur combat contre l'oligarchie mondialiste et l'idéologie sioniste qui tiennent la France en captivité et l'empêchent d'exercer sa souveraineté. Ils sont un exemple à suivre pour les patriotes québécois qui doivent mener un combat similaire pour réaliser l'indépendance de la nation québécoise, la nation francophone qui lutte courageusement pour sa survie au sein d'une Amérique du Nord anglophone. Les militants du PSF savent aussi reconnaître leurs erreurs et rectifier le tir quand il le faut. L'autocritique est une nécessité en politique si on veut avancer.
Le PSF est un parti composé de militants dévoués qui ne se laissent pas rebuter par les calomnies des médias monopolisés, ni par les attaques de la justice au service de l'élite mondialiste et sioniste.
Le PSF soutient toutes les luttes anti-impérialistes dans le monde, que ce soit les Palestiniens contre l'entité sioniste, les patriotes syriens sous la direction du président Bachar El-Assad, contre
l'agression menée conjointement par l'axe américano-sioniste et les salafistes, les patriotes sociaux vénézuéliens disciples du regretté président Hugo Chavez et bien sûr les indépendantistes québécois
contre la domination anglo-canadienne. Contrairement à certains groupes qui se prétendent nationalistes, les militants du Parti Solidaire Français ne se laissent pas corrompre par le poison mortel du sionisme, qui cherche à attiser la haine entre les Français et les musulmans, conformément à la théorie du choc des civilisations chère aux néoconservateurs américains. Le PSF a bien compris que ce n'est pas l'Islam qui représente une menace pour la survie de la nation française, mais plutôt l'immigration de masse et le multiculturalisme qui sont très fortement encouragés par les sionistes pour détruire progressivement les différentes identités et cultures nationales, sauf celles d'Israël bien sûr, au profit d'une uniformisation.
Le PSF s'oppose à la fois au capitalisme et au marxisme qui sont les deux faces du système mondialiste. Comme alternative il préconise un socialisme national, désigné sous le terme de solidarisme, qui donne au travail toute sa place et au capital rien que sa place. Ce qui veut dire qu'il défend énergiquement et vigoureusement les droits des travailleurs tout en permettant aux patrons de faire des profits d'une manière raisonnable et sans fourberie. Au lieu de la stérile et inutile lutte des classes, le solidarisme prône l'instauration d'un système corporatiste permettant une collaboration saine entre les classes sociales basée sur le respect des droits et devoirs des patrons et des travailleurs. En gros le solidarisme rejette à la fois le capitalisme libéral ou plutôt néolibéral, qui concentre la richesse entre les mains d’une élite ploutocratique et apatride qui dilapide la richesse nationale au profit d’intérêts étrangers, et la rigidité du collectivisme marxiste qui étouffe toute initiative privée en voulant étatiser complètement l'économie. Il est fondamental de nationaliser les secteurs prédominants de la vie économique comme les banques, les ressources naturelles, les plus grandes entreprises, tout en laissant une place au secteur privé et notamment aux petites et moyennes entreprises.
C'est pourquoi le Cercle Solidaire Québécois qui a été crée l'année dernière est entièrement solidaire sur les plans politique, idéologique et programmatique avec le Parti Solidaire Français. Nous devons renforcer notre collaboration et coopération, car après tout le Québec est l'héritier de la Nouvelle-France et à ce titre les Québécois peuvent se revendiquer de la culture européenne. Notre combat est le même, alors travaillons ensemble pour atteindre nos objectifs et détruire l'hégémonie du capitalisme mondialiste et apatride.
Richard Chartrand pour le Cercle Solidaire Québécois
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