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30 oct. 2011

The serial killer!

Derrière l’apparence d’un jeune homme frêle et bienveillant sommeille une âme aux aguets telle une louve en chasse.
Nombreux sont ceux qui, à travers le monde, se sont réjouis de l’arrivée à la Maison blanche d’un président noir. Ce fut incontestablement un moment d’émotion bien partagé de par le monde. 
Une sorte d’extase générale durant laquelle tout un monde ravi n’entrevoit que la vision béatifique d’une prétendue justice sociale, enfin, rendue. C’était, hélas, méconnaître l’Amérique et, surtout, se tromper sur une blancheur rougeâtre d’un nid de rapace nommé drôlement maison blanche. 
Et ce fut bien prévisible : seuls ceux qui volent si haut que les aigles peuvent atteindre ce lieu d’enfer sur terre pour lequel l’Homme n’est que servilité et avilissement. Atteindre, en effet, ce point culminant d’un Empire dont la puissance n’a eu d’égale que les méfaits dont il s’en est rendu coupable.

Et, incontestablement, Barak Obama est de ceux-là. Pis, derrière l’apparence d’un jeune homme frêle et bienveillant sommeille une âme aux aguets telle une louve en chasse. 
Une âme perdue, vendue au diable par le prix de sang. Celui des autres. 
Depuis, les exécutions extrajudiciaires sont devenues le lot quotidien d’une Amérique en fin de parcours et à bout de souffle acculée par tous les syndromes habituels du grand age. 
C’est ainsi que, sous l’aval d’un président assoiffé de sang, des drones ou des soldats américains tuent, chaque jours, et à l’aveuglette, des centaines de personnes sans sommation, sans procès et, pour la majorité d‘entre eux, sans aucune raison valable, pas assez en tout cas pour justifier de ces massacres sacrificiels sur l’autel de la décadence américaine. Et tout le monde y passe.
Qu'ils soient célèbres, comme Ben Laden ou Khadaffi, ou anonymes, tels ces convives de mariages du haut plateau afghan, chacun eut son triste sort. C’est dire que, devant la morosité américaine ambiante, les jours de ces meurtres sont presque des jours de fêtes annoncés avec tambours et trompettes par un président qui, à défaut de pouvoir sortir son pays de son marasme existentiel, l’accompagne dans sa chute en enfer en lui offrant du sang ; encore du sang ; toujours du sang.

Source : Alterinfo.net

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