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4 nov. 2013

Les 7 ingrédients les plus répugnants dans la fabrication des vaccins

Les parents ont le droit de comprendre ce qui est injecté dans le corps de leurs enfants. La production de vaccins fait appel à plusieurs ingrédients répugnants. En outre, les composants utilisés au cours du processus de fabrication peuvent blesser les convictions personnelles, religieuses ou éthiques.

Il convient en outre de ne pas oublier le langage coloré utilisé par la communauté scientifique (qui utilise des mots comme « purifié » etc.), comme le coût de certaines de ces substances.

En lisant cette liste, il convient aussi de savoir que les lignées cellulaires et les vaccins sont souvent contaminés. La chose est souvent camouflée sous l’expression : « agents adventices ».

1. Cellules de fœtus avortés

Sur les notices de vaccins, les cellules de fœtus avortés sont désignées par l’expression : « cellules diploïdes fœtales humaines ». Deux lignées de cellules de fœtus avortés, WI-38 et MRC-5 ont été cultivées en laboratoire depuis les années 1960.

Ces cellules sont utilisées pour cultiver des virus qui sont ensuite récoltés et traités pour produire les vaccins.

De quels vaccins s’agit-il ? Le vaccin DTCa, le vaccin contre l’hépatite A, le vaccin contre l’hépatite B, le vaccin ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons), le vaccin contre la rage, le vaccin contre la varicelle, le vaccin contre l’adénovirus.

2. Sérum sanguin de fœtus de veau avorté

L’une des méthodes les plus grotesques utilisées dans la fabrication des vaccins est la récolte du sérum fœtal bovin. Ce sérum fournit le bouillon de culture pour permettre aux virus de se développer.

Comment récolte-t-on le sang ?

Selon le site Humanae Research Australia :

Après avoir abattu et saigné la vache dans un abattoir, l’utérus de la mère qui contient le fœtus du veau est enlevé au cours du processus d’éviscération (ablation des organes internes de la mère) et transféré ailleurs pour la récolte du sang. Une aiguille est insérée entre les côtes du fœtus pour aboutir directement dans le cœur. Le sang est ensuite aspiré dans une poche stérile. Ce processus vise à minimiser le risque de contamination du sérum par les micro-organismes du fœtus et de son environnement. Seuls les fœtus âgés de plus de trois mois sont utilisés parce qu’autrement, le cœur serait trop petit pour être percé. Une fois recueilli, on laisse le sang se coaguler à température ambiante. Le sérum est ensuite séparé par un processus connu sous le nom de « centrifugation réfrigérée. [1]

De quels vaccins s’agit-il ?

Vaccin ROR (Rougeole, Oreillons Rubéole) le vaccin contre le Rotavirus, le vaccin contre l’Adénovirus, le vaccin contre la Varicelle.

3. Cellules provenant de chenilles légionnaires

La FDA a approuvé le vaccin Flublok le 16 janvier 2013. Cette nouvelle technologie est présentée comme étant la vague de l’avenir. Elle utilise une lignée cellulaire d’insecte (expresSF+®) qui est dérivée de cellules du légionnaire d’automne, le Spodoptera Frugiperda.

La notice du vaccin mentionne également :


Chaque dose de 0,5 ml de Flublok peut également contenir des quantités résiduelles de protéines de baculovirus et de la cellule hôte (≤ 28.5 mcg), baculovirus et cellulaire DNA (≤ 10 ng) … [2]

De quel vaccin s’agit-il ?

Le vaccin contre la grippe.

4. Cellules de reins de singes

Comme mentionné plus haut, le tissu de rein de singe est utilisé pour permettre la croissance de certains virus utilisés dans la production des vaccins. Il existe encore une énorme controverse quant à l’utilisation de ces cellules, et quant à leur rôle contaminant dans le vaccin polio des années 1950.

Cette histoire est bien racontée par une courageuse scientifique Bernice Eddy dans les journaux du Congrès.

A la page 500 du document The Executive Reorganization and Government Research of the Committee on Government Operations United States Senate, Ninety-Second Congress, Second Session [1972] , on peut lire:


La seule crise grave concernant le vaccin, et qui s’est produite depuis l’épisode de la poliomyélite, au milieu de l’année 1961, a été la réalisation que, le virus qui provoquait des tumeurs chez les hamsters, contaminait les vaccins polio et les vaccins contre l’adénovirus. Le virus appelé SV40 se trouvait dans les vaccins et survivait après le traitement au formol. [...]

Page 502 :


En 1954, Eddy qui était agent de contrôle de la polio, a retrouvé le virus vivant supposé tué dans le vaccin polio ; en 1955, elle fut relevée de ses fonctions en tant qu’agent de contrôle de la polio… Après ses découvertes sur le virus SV40, son personnel, ainsi que l’espace destiné aux animaux ont été réduits et on l’a fait rétrograder de la tête d’une section à la tête d’une unité.

Page 505 :


… Même après avoir trouvé que le virus contaminant était cancérigène chez les hamsters, le DBS [Division of Biologics Standards] et son comité consultatif d’experts ont décidé de maintenir les stocks existant sur le marché plutôt que de prendre le risque de saper la confiance du public en rappelant les vaccins.

Et :


Il y a eu une tendance de la part de certains cercles gouvernementaux supérieurs à minimiser toute discussion ouverte sur les problèmes liés aux vaccins… [3]

De quels vaccins s’agit-il ?

Le vaccin DTCa, le vaccin contre l’encéphalite japonaise, le vaccin contre la polio, le vaccin contre le Rotavirus, le vaccin Vaccinia.

5. Cellules de reins de chiens

Le 20 novembre 2012, la FDA a approuvé le vaccin contre la grippe saisonnière, Flucelvax, fabriqué par Novartis [4]

Ce vaccin est produit en masse en utilisant la lignée cellulaire continue Madin Darby Canine Kidney (MDCK) comme substrat cellulaire des vaccins. [5]

De quel vaccin s’agit-il ?

Le vaccin contre la grippe.

6. Cerveau de souris

Des vaccins viraux préparés en culture tissulaire ou sur cerveaux de souris ont été utilisés dans de nombreux pays asiatiques. Selon le site internet du CDC, le vaccin JE inactivé et cultivé sur cerveau de souris qui a été utilisé aux Etats-Unis depuis 1992 n’est plus disponible. [6]

Bien sûr, comme pour tous les vaccins, les effets indésirables sont rarement suivis et sont minimisés par les autorités médicales. Les dommages causés par les vaccins peuvent cependant être très graves. [7, 8]

De quels vaccins s’agit-il ?

Le vaccin contre l’encéphalite japonaise, le vaccin contre la rage.

7. Embryons de poulet

Les poulets et leurs embryons ont longtemps été utilisés dans la production des vaccins.

Ces méthodes ont été popularisées dans les années 1920 et 1930 par Thomas Rivers et autres à l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale. [9]

Références

3. Executive Reorganization and Government Research of the Committee on Government Operations United States Senate, Ninety-Second Congress, Second Session. Page 499-505. April 20,21; and May 3,4, 1972.


Traduction : Expovaccins

Via Sott.net

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