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31 oct. 2013

Collision avec un avion militaire : et si c’était vrai ?

Avant la découverte du coffret de pierres précieuses du Malabar Princess, Daniel Roche, chercheur passionné des vestiges des crashes au mont Blanc, a trouvé une bien étrange pellicule qui pourrait remettre en cause les raisons de l’autre crash, celui du Boeing 707 d’Air India, en 1966.

À 8h10 le 24 janvier 1966, le Kangchenjunga, Boeing 707-437 de la compagnie Air India, vole à 6 200 mètres d’altitude en provenance de Beyrouth et commence sa descente vers
Genève-Cointrin, sa seconde escale avant Londres. Brusquement Léo Schegg, le contrôleur aérien qui l’a en charge, perd le spot radar du vol 101. Les guides et sauveteurs chamoniards retrouveront la carcasse déchiquetée du Boeing à 4 800 mètres d’altitude, sous le mont Blanc. Aucun des 117 passagers n’a survécu.

Sur la liste d’embarquement, un nom interpelle les enquêteurs. Le docteur Homi Bhabha Jehangir était à bord. Un homme qui compte en Inde, puisqu’il est le « père » du programme nucléaire de son pays.

À l’époque, on annonçait déjà un second accident – 16 ans après celui du Malabar Princess – dû à une erreur de pilotage. Une thèse que ne partageaient pas les journalistes Philippe Réal et Alain Franck, le caméraman Philippe Biessy, l’ingénieur du son Jean Pontanier, le guide René Desmaison et son ami Émile Troksiar. Dès le 17 février 1966, ils pensent à un autre scénario pour ce mystérieux crash. Eux, imaginent une collision avec un jet de l’Otan. Ils montent donc, en toute discrétion, une expédition au nom de code : « Opération Chabert ».

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