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21 août 2013

Maintenant ce sont les scientifiques du GIEC qui subiraient des pressions ??

Il y a de quoi se poser des questions quand on lit la déclaration...

« Le rapport final pourrait minimiser le facteur humain ! »

La responsabilité humaine dans le réchauffement climatique fait peu de doute. C’est la conclusion du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont un résumé a filtré dans des médias mardi. Mais ce rapport n’en est qu’au stade de projet. Un climatologue américain craint que sa version finale ne soit édulcorée en raison de pressions multiples.

« Il est hautement probable que l’influence humaine sur le climat soit responsable de plus de la moitié de la montée des températures à la surface du globe entre 1951 et 2010 », écrit le GIEC dans ce document obtenu notamment par le New York Times. « Il y a un degré élevé de confiance pour dire que cela (l’influence humaine) a engendré le réchauffement des eaux océaniques, fait fondre la neige et la glace, et fait monter les océans », ajoute le GIEC, selon qui le niveau des eaux pourrait augmenter de 90 centimètres d’ici 2100.

Déjà des catastrophes

« Les scientifiques sont de plus en plus persuadés, comme le montrent des indications scientifiques de plus en plus solides, que nous sommes principalement responsables, non seulement du réchauffement de la planète, mais aussi des nombreuses conséquences que nous constatons déjà comme des inondations plus importantes, des feux de forêts plus ravageurs, une fonte record des glaces et des vagues de chaleur plus fréquentes et plus intenses », a indiqué le climatologue américain Michael Mann.

Le rapport pourrait être édulcoré

Le langage employé par les experts du GIEC est plus fort que celui du précédent rapport officiel de l’ONU, publié en 2007. Le porte-parole du GIEC, Jonathan Lynn, a expliqué dans un communiqué que « le projet de rapport sera probablement modifié pour prendre en compte des commentaires des différents pays reçus ces dernières semaines et sera examiné par des représentants gouvernementaux et des scientifiques lors d’une réunion de quatre jours fin septembre avant d’être approuvé ». « Il est donc prématuré de tirer des conclusions de ce projet de rapport », souligne-t-il. Michael Mann, qui est directeur du Centre des Sciences de la Terre à l’Université de Pennsylvanie aux Etats-Unis, dit craindre que la version finale soit plus édulcorée. « Les scientifiques qui participent à l’élaboration du rapport du GIEC pourraient craindre, s’ils sont trop brutaux quant aux impacts futurs du réchauffement, de déchaîner les attaques des climato-sceptiques », ajoute-t-il. « Je pense que ces pressions, couplées à la réticence naturelle des scientifiques à tirer des conclusions trop tranchées, font que le rapport final du GIEC pourrait minimiser le facteur humain dans le changement climatique », craint ce climatologue.

Quelles pourraient être les raisons que cette information soit insensée et mensongère, poussant le GIEC à se faire passer pour victime, alors que jusqu’ici, quiconque n’étant pas en accord avec le contenu de ses rapports, ses objectifs, et ses recommandations, était directement évincé, banni de la sphère scientifique et discrédité ? - L’absence totale de prise en compte et une omission volontaire du facteur naturel, terrestre ou galactique, dans les données servant de bases aux différents rapports. - Les quantité de méthane se dégageant des tourbières, notamment nordiques que la fonte glacière découvre et laisse échapper ce GES. N’est pas plus pris en compte, l’augmentation des séismes notamment les plus forts, qui favorise le relâchement de ce gaz dans l’atmosphère, la fracturation hydraulique non plus, or l’augmentation du nombre de puits n’est plus un secret. Les tourbières émettent entre 70 et 90% du total des émissions de GES, le méthane pour 20 à 40% des émissions totales de méthane. Chaque perte de 1% de carbone tourbier équivaut entre 30 et 60% des émissions annuelles de carbone fossile.

Petit rappel, « tous » les GES ont vu leur coefficient, « converti » en CO2 (unité de conversion), ce qui fait du CO2 le principal responsable suivant les rapports, ce qui est faux ! D’autant plus que le coefficient du méthane est 20x plus élevé que celui du CO2.



Source : RTL-Info 21/08/2013 à 07h46. via Wikistrike

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