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13 avr. 2013

Zara accusée de faire travailler des enfants en Argentine…



Merci à Zara de nous proposer des fringues pas pas trop mal à des prix corrects, mais on ne demandait pas tant. Ce n’est pas la première fois que Zara est pris les mains dans le sac pour esclavagisme.
En 2011, Zara avait pourtant juré de mettre fin aux conditions misérables de travail au Brésil. La société avait été obligée de payer une amende et une rétribution à tous les employés.

Sachez tout de même, pour la petite histoire, que le propriétaire fondateur de Zara, Amancio Ortega, est la troisième fortune du Monde, derrière Bill Gates et devant Warren Buffet avec une fortune de 57 milliards de dollars, en hausse de près de 20 milliards par rapport à 2012.

La marque espagnole de prêt-à-porter Zara est sous le coup d’une enquête pour travail infantile après une descente des autorités argentines dans des usines de Bueno Aires, a-t-on appris mardi 9 avril. «Les autorités indiquent avoir trouvé des familles vivant directement sur leurs lieux de production.

Ces derniers fonctionnaient 16h par jour sans pause, avec interdiction de quitter l’usine sans permission des responsables. Les travailleurs, pour la plupart d’origine bolivienne, comprenait nombre d’enfants», selon le Daily Telegraph, repris par le site Fashionmag.com. La Alameda, une ONG qui protège les droits des employés, prétend que les ouvriers, souvent des Boliviens, étaient forcés de travailler dans des lieux mal éclairés, non aérés du lundi au vendredi de 7 heures du matin à 23 heures, sans aucune pause.

« Face à cette découverte, une organisation non gouvernementale a déposé une plainte judiciaire contre la marque espagnole ainsi que deux marques argentines, Ayres et Cara Cruz, pour «exploitation présumée d’immigrants sans papiers et de mineurs» dans trois ateliers argentins, selon le site Venezolana de Television.

La marque Zara appartient à la société Inditex, contrôlé par l’homme d’affaire espagnol Amancio Ortega. La compagnie avait déjà été mise en cause en 2011 au Brésil. Une association de défense du droit du travail avait en effet découvert un atelier clandestin à São Paulo, où 14 immigrants de nationalités bolivienne et péruvienne fabriquaient des vêtements pour Zara. »



Un article de Newsring et Le Vif.be, publié par blogapares.com et relayé par Jacques pour SOS-planete

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