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21 avr. 2013

Pourquoi les hongrois apprécient moyennement les juifs

Members of the Jobbik "Hungarian Guard" participate in an inauguration ceremony at Budapest's Heroes SquareI] LA HONGRIE EN 1919 

Le 20 mars 1919, le juif Bela Kuhn (Cohen) s’empara de la Hongrie et proclama la République Soviétique Hongroise, plongeant la Hongrie dans un horrible bain de sang. Avec lui, vingt-six commissaires composaient le nouveau gouvernement, et parmi ceux-ci, dix-huit étaient juifs : une proportion jamais vue, si l’on tient compte qu’en Hongrie il y avait un million et demi de juifs pour vingt-deux millions d’habitants. Les dix-huit commissaires juifs tenaient dans leurs mains la direction effective du pouvoir, et les huit autres commissaires d’origine chrétienne ne pouvaient rien faire. Plus de 90 % des membres du gouvernement et des hommes de confiance de Bela Kuhn étaient aussi des juifs.



Voici la liste des membres du gouvernement de Bela Kuhn :

1. Bela Kuhn, Secrétaire Général du gouvernement, juif ;
2. Sandor Garbai, Président (officiel) du gouvernement, hongrois utilisé comme écran par les juifs ;
3. Peter Agoston, second du Secrétaire Général, ,juif ;
4. Dr. E. Landler, Commissaire du Peuple pour les Affaires Intérieures, juif ;
5. Bela Vago,second de Landler, juif (Weiss de son vrai nom) ;
6. E. Hamburger, Commissaire à l’Agriculture, juif ;
7. Vantus, adjoint de Hamburger, juif ;
8. Csizmadia, adjoint de Hamburger, hongrois ;
9. Nyisztor, adjoint de Hamburger, hongrois;
10.Varga, Commissaire aux Finances, juif (Weichselbaum de son vrai nom) ;
11.Szkely, adjoint de Varga, juif (Schlesinger de son vrai nom);
12. Kundi, Commissaire à l’Education, juif (Kunstater de son vrai nom);
13.Lukacs, adjoint de Kundi, juif (en réalité du nom de Löwinger, et fils du directeur général d’une banque de Budapest) ;
14. D. Bokanyi, Commissaire au Travail, hongrois ;
15. Fidler, adjoint de Bokanyi, juif ;
16.Josef Pogany, Commissaire à la Guerre, juif (en réalité du nom de Schwartz) ;
17.Szanto, adjoint de Bokanyi, juif (en realité du nom de Schreiber) ;
18. Tibor Szamuelly, adjoint de Pogany, juif du nom de Samuel ;
19. Mathias Rakosi, Commissaire au Commerce, juif (de son vrai nom Mathew Roth Rosenkranz), qui sera le dictateur communiste après la seconde guerre mondiale ;
20. Ronai, Commissaire à la « Justice », juif (du nom de Rosentegl) ;
21. Ladai, adjoint de Ronai, juif ;
22. Erdelyi, Commissaire à l’Approvisionnement (Eisenstein de son vrai nom) ;
23. Vilmos Boehm, Commissaire à la Socialisation, juif ;
24. Hevesi, adjoint de Boehm, juif (en réalité du nom de Honig) ;
25. Dovsak, deuxième adjoint de Boehm, juif ;
26. Oszkar Laszai, Commissaire aux Nationalités, juif (de son vrai nom Jabukovits) ;
27. Otto Korvin, Commissaire à l’Investigation Publique, juif (de son vrai nom Klein) ;
28. Kerekes, Procureur général de l’Etat, juif (de son vrai nom Kraus) ;
29. Biro, Chef de la Police Politique, juif (de son vrai nom Blau) ;
30. Seider, adjoint de Biro, juif ;
31. Oszcar Faber, Commissaire à la Liquidation des Biens de l’Eglise, juif ;
32. G. Czerny, Commandant de la bande terroriste nommée « Les Gars de Lénine », hongrois ;
33. llès, Commissaire Supérieur de la Police, juif ;
34. Czabados, Commissaire Supérieur de la Police, juif (de son vrai nom Singer) ;
35. Kalmar, Commissaire Supérieur de la Police, juif allemand ;
36. Szabo, Commissaire Supérieur de la Police, juif ruthénien (s’appelant en réalité Schwartz) ;
37. Vince, Commissaire Populaire de la Ville de Budapest, juif (s’appelant en réalité Weinstein) ;
38. M. Krauss, Commissaire Populaire de Budapest, juif ;
39. A. Dienes, Commissaire Populaire de Budapest, juif ;
40. Lengyel, Président de la Banque Austro-Hongroise, juif (s’appelant en réalité Leivkovits) ;
41. Laszlo, Président du Tribunal Révolutionnaire Communiste, juif (du vrai nom de Löwy).

Certains membres de ce gouvernement qui demeura quelques temps à la tête de la Hongrie se distinguèrent par leurs crimes et leurs déprédations innombrables, en plus de Bela Kuhn lui même, qui parcourait le pays dans une voiture de luxe accompagné de sa très efficace secrétaire juive R. S. Salkind, alias Semliachkay, avec une fourche installée sur le véhicule comme signe distinctif. Ce fut notamment le cas du juif Szamuelly, le chef de la Tchéka hongroise, qui se déplaçait à travers la Hongrie en train particulier, en semant la terreur et la mort, comme le décrit un témoin de l’époque.

Ce train de la mort traversait en rugissant l’obscurité des nuits hongroises : là où il faisait arrêt, l’on retrouvait des hommes pendus aux arbres et du sang s’écoulant sur le sol. Au long des rues, on voyait des cadavres nus et mutilés. Szamuelly dictait ses sentences dans le train, et celui qui s’était trouvé forcé d’y monter ne pouvait jamais raconter ce qu’il y avait vu…

Szamuelly vivait constamment dans ce train. Une trentaine de terroristes choisis y veillaient à sa sécurité. Des serviteurs sélectionnés les accompagnent ; le train est composé de deux voitures-salon, deux voitures de première classe occupées par les terroristes et deux voitures de troisième classe pour les victimes. C’est dans ces dernières que sont perpétrées les exécutions. Le sol de ces voitures est maculé de sang ; les cadavres sont jetés par les fenêtres, pendant que Szamuelly confortablement installé à son bureau dans sa voiture-salon tapissée de damas rose décoré de lunes biseautées, décide de la vie et de la mort d’un geste de la main.

Le périodique italien « La Divina Parola » (la Divine Parole) du 25 avril 1920 écrivit qu’en Hongrie, pendant la réaction anti-bolchevique contre le juif Bela Kuhn, on découvrit dans des souterrains des cadavres de religieux entassés n’importe comment. Des diplomates étrangers appelés par le peuple à constater le fait de leurs yeux ont témoigné avoir vu de nombreux cadavres de religieux et de religieuses, dont les croix pectorales qu’ils portaient normalement sur la poitrine leur avaient été enfoncées dans le cœur. 

II] LA HONGRIE APRES 1945

1. Le chef communiste le plus important du pays depuis l’occupation par les troupes soviétiques est Mathias Rakosi, un juif dont le nom véritable est Mathiew Roth Rosenkranz, né en 1892 à Szabadka ;
2. Ferenk Muennich, juif, et Premier Ministre de Hongrie en 1959, après Janos Kadar ;
3. Ernö Gerö, juif, ministre de l’Intérieur jusqu’en 1954 ;
4. Szebeni, israélite, prédécesseur de Gerö comme ministre de l’Intérieur ;
5. Général Laszlo Kiros, juif, ministre de l’Intérieur depuis juillet 1954, en même temps chef de l’A.V.O. la police secrète, l’équivalent du M.V.D. soviétique ;
6. Général Peter Gabor, le chef de la police politique de Hongrie jusqu’en 1953, qui s’appelle en réalité Benjamin Ausspitz, ancien tailleur à Sàtauraljaujhély en Hongrie ;
7. Varga, Secrétaire d’Etat à l’Economie Planifiée, juif dont le vrai nom est Weichselbaum, ex-ministre du gouvernement de Bela Kuhn. Egalement Président du Conseil supérieur Economique ;
8. Beregi, Ministre des Affaires Etrangères, juif ;
9. Julius Egry, Ministre de l’Agriculture de la République Populaire de Hongrie, juif ;
10. Zoltàn Vas, Président du Conseil supérieur Economique, juif, s’appelant en réalité Weinberger ;
11. Josef Revai, Le dictateur de la Presse hongroise et le directeur du journal rouge Szabad Nep (« Le Peuple Libre » !), juif, s’appelant en réalité Moises Kahana ;
12. Revai (autre que le précédent), Ministre de l’Education nationale, juif, du nom de Rabinovits ;
13. Jozsef Gerö, Ministre des Communications, juif, s’appelant Singer ;
14. Mihàly Farkas, Ministre de la Défense nationale, juif du nom de Freedmann ;
15. Veres, Ministre d’Etat, israélite ;
16. Vajda, Ministre d’Etat, juif ;
17. Szanto, Commissaire à l’Epuration, envoyé de Moscou en 1951 ; juif s’appelant Schreiber, et ex-membre du Gouvernement de Bela Kuhn ;
18. Gyula Déssi, Ministre de la « Justice » jusqu’en 1953, aujourd’hui chef de la Police secrète, juif ;
19. Emil Weil, Ambassadeur de Hongrie à Washingon : c’est le médecin juif qui tortura le Cardinal Mindzenty.

Entre autres potentats juifs de marque, il faut encore mentionner :

1. Imre Szirmay, le directeur de la Société Magyare de Radiodiffusion ;
2. Gyula Garay, « Juge populaire » du Tribunal communiste de Budapest ;
3. Colonel Caspo, le Sous -Chef de la Police secrète ;
4. Pr Lazslo Benedek, juif, le dictateur en matière d’Enseignement.

L’unique communiste important d’origine chrétienne fut le maçon Laszlo Rajik, ex-Ministre des Affaires Etrangères, jugé et condamné sous l’inculpation de « trahison » par ses « frères » juifs, chose arrivée à tous les maçons d’origine chrétienne ou non-juive trompés par le pouvoir occulte judaïque qui dans les coulisses contrôle la Fraternité maçonnique, pouvoir qui dans certains pays les a poussés à travailler au triomphe de la révolution socialiste, pour ensuite les tuer dans les célèbres purges, une fois instaurée la « dictature de Prolétariat ».

Source : Maurice Pinay – 2000 ans de complots contre l’Eglise catholique (1962)

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