Il s'agit d'un petit chien censé chanter "avec ma truffe je renifle le monde". Sauf que les paroles entendues ne ressemblent pas vraiment à la comptine escomptée.
Les jouets "parlants" peuvent parfois réserver bien des surprises. C'est le cas de Bobby, un petit chien en plastique commercialisé en Belgique et fabriqué en Chine. A l'origine, l'objet chante à tue-tête "avec ma truffe je renifle le monde", seulement, on entend plutôt "avec ma queue, je vais niquer le monde". Une comptine qui pose du coup quelques problèmes pour les parents.
Plainte contre le magasin
Cinda a acheté le jouet, pourtant certifié conforme aux normes européennes, pour son fils âgé d'un an. Cette mère explique comment elle s'est aperçue de la chanson aux paroles équivoques "quand j'ai entendu mon fils dire cette grossièreté dans le parc, je lui ai demandé où il avait appris ça. En écoutant le jouet par hasard, je me suis rendue compte que c’était le petit chien".
En retournant au magasin, Cinda a constaté avec les vendeurs qu’un autre chien identique semblait prononcer les mêmes mots. Elle a ainsi décidé de porter plainte contre l’enseigne. "Comment voulez-vous que j’enlève ces mots-là à mon petit garçon, je l’ai pas élevé comme ça, les gens vont penser quoi de mon éducation", s’insurge-t-elle.
Les jouets "parlants" peuvent parfois réserver bien des surprises. C'est le cas de Bobby, un petit chien en plastique commercialisé en Belgique et fabriqué en Chine. A l'origine, l'objet chante à tue-tête "avec ma truffe je renifle le monde", seulement, on entend plutôt "avec ma queue, je vais niquer le monde". Une comptine qui pose du coup quelques problèmes pour les parents.
Plainte contre le magasin
Cinda a acheté le jouet, pourtant certifié conforme aux normes européennes, pour son fils âgé d'un an. Cette mère explique comment elle s'est aperçue de la chanson aux paroles équivoques "quand j'ai entendu mon fils dire cette grossièreté dans le parc, je lui ai demandé où il avait appris ça. En écoutant le jouet par hasard, je me suis rendue compte que c’était le petit chien".
En retournant au magasin, Cinda a constaté avec les vendeurs qu’un autre chien identique semblait prononcer les mêmes mots. Elle a ainsi décidé de porter plainte contre l’enseigne. "Comment voulez-vous que j’enlève ces mots-là à mon petit garçon, je l’ai pas élevé comme ça, les gens vont penser quoi de mon éducation", s’insurge-t-elle.
"Un problème de compression de fichiers"
Mais le plus cocasse dans l'affaire, c’est que la chaîne de magasin a vendu 3.600 chiens en deux ans. Un problème technique serait en fait à l'origine du "malentendu".
"C'est un problème de compression de fichiers", explique Tony Mettens, le directeur général de l’enseigne.
Par mesure de précaution, les soixante-dix pièces restantes en magasin ont été retirées des rayons.
Source : BFMTV
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire