Un supérieur de communauté voit un jeune frère saisir une tablette électronique à la place de son bréviaire, afin de suivre l’office de laudes. Il l’invite instamment à prendre son livre de prière, comme tout le monde. « Mais, poursuit-il, je me suis demandé pourquoi j’avais réagi de la sorte. En quoi l’usage d’une tablette serait-il moins approprié que celui d’un livre ? »
Les évêques néo-zélandais n’ont pas eu d’hésitation : « Les applications liturgiques pour iPad et l’utilisation des tablettes tactiles, téléphones portables et liseuses s’avèrent excellentes pour les études mais impropres à la liturgie », avertissent-ils dans une lettre publiée en juin dernier.