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4 févr. 2012

Alertes maximales suivant le site Gold-UP

Un sinistre rapport, daté d’aujourd’hui et émis par le ministère des Finances russe, est en circulation dans le Kremlin à propos du système de paiement interbancaire américain (le Clearing House Interbank of Paiement System (CHIPS)). Ce rapport précise qu’un important effondrement économique mondial est actuellement en cours et pourrait très bien entrer dans une redoutable « zone de chute libre. »( lu surWhatDoesItMean.com)

Pratiquement inconnue de tous, sauf de l’élite financière mondiale, le CHIPS est laprincipale maison privée de compensation des grosses opérations aux Etats-Unis, qui gère le transfert de plus de 1 milliard de dollars par jour au travers des 250.000 paiements interbancaires qui, avec le Fedwire Funds Service, exploité par la Fed, constitue le principal réseau américain au niveau international (96% du trafic mondial) des paiements en dollars américains.
D’après ce rapport, la cause sous-jacente de l’effondrement du CHIPS, est due à une demande « sans précédent » dans le cadre du soulagement en liquidité immédiate demandée par les principales banques de l’Union Européenne et les États-Unis. Écrasées par la dette combinée des USA et les pays européens, dont le total avoisine les 39 000 milliards de dollars…
Il est important de noter que ce qui se passe actuellement est une répétition virtuelle de la crise financière de 2008 aux États-Unis. Carl Levin (libéral) et Tom Coburn (conservateur) du Sénat américain signalent que ce « n’est pas un désastre déclenché naturellement, mais le résultat d’un risque élevé, de produits financiers complexes, de conflits d’intérêts non divulgués, de l’échec des régulateurs et des agences de notation de crédit, et le marché lui-même qui ne parvient pas à freiner les excès de Wall Street ».
Le dernier rapport graphique du site InvestmentTools.com fait écho au Ministère russe dans ses dernières données (voir graphique ci-dessous sur le Baltic Dry Index : indice des prix du transport maritime) publié quotidiennement par la Bourse de Londres.
Nous observons qu’il est en chute libre de 65% durant les 30 derniers jours seulement. Une perte terrifiante jamais vue depuis les jours sombres de la fin 2008 (alors que le SP &500 est en lévitation artificielle…)


A l’heure où j’écris ces lignes, le BDI est passé sous le plus bas de 2009…

Vous pouvez le suivre en temps réel sur le site de Bloomberg ici.

Plus l’écart se creuse, plus la chute sera violente
Selon moi, cet indicateur est le VÉRITABLE BAROMÈTRE de l’économie mondiale puisqu’il reflète la réalité des échanges commerciaux entre les vendeurs de biens de consommation et les livreurs de matières premières nécessaires à leur fabrication (contrairement à Wall Street où n’est échangé que du papier sur des écrans d’ordinateur).

Remarquez à quel point le S&P 500 part à l’opposé du BDI !

Wall Street et les bourses mondiales dans son sillage s’éloignent de la réalité économique : plus ces courbes s’éloignent l’une de l’autre, plus le retour à la réalité sera violent…
Le BDI traque les prix d’expédition internationale dans le monde entier sur diverses cargaisons de vrac sec.
Il témoigne d’un effondrement sévère du trafic maritime qui a pratiquement cessé dans certaines régions, laissant la plus grande partie du transport mondial ancrée à vide au large des côtes de Singapour (voir photo).
Certains le décrivent comme « le plus grand rassemblement secret de navires dans l’histoire maritime dont le nombre est équivalent à l’ensemble des marines britanniques et américaines combinées ! » (révélé par le DailyMail en 2009 ici !)


Pendant la crise financière de 2008 une absolue catastrophe économique mondiale a sûrement été évité par la Réserve fédérale américaine qui donna secrètement aux banques américaines et les sociétés, les banques étrangères de France et d’Écosse, plus de 16 000 milliards de dollars (preuve ici).
Le pot aux roses a été découvert en raison d’une modification de la Loi Dodd -Frank de Wall Street et de la réforme de la protection du consommateur votée par le Congrès américain qui a appelé à vérifier certaines données de la FED pour la première fois en 99 ans d’histoire !
Remarque importante à propos de ces 16 000 milliards de dollars :
Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis est seulement $ 14,12 trillions,
et la totalité de la dette nationale du gouvernement des États-Unis couvrant ses 200 ans d’histoire est « seulement » de 14 500 milliards de dollars.
Quiz :
A partir de quelles valeurs ces
16 000 milliards ont-ils été créés ?
Réponse : Ctrl + Print !
Curieusement, l’amendement précité de la loi Dodd-Frank n’a été utilisé que pour une vérification ponctuelle de la mise en place de prêts d’urgence par la Réserve fédérale depuis le 1er Décembre 2007 et se termine à la date de promulgation de la loi signée par le président Obama le 21 Juillet 2010 : gardant ainsi le peuple américain dans l’ignorance de savoir envers qui l’argent de la FED est distribué.
Dans un monde occidental dépourvu de toute moralité, et sans les connaissances des anciens, il est hors de doute que cet effondrement économique à venir est de les prendre par surprise complète (comme la dernière l’a fait) comme ils ont été formés comme des esclaves obéissant seulement à l’adhésion de ces voix les menant à leur perte.
Mais pour ceux qui connaissent la vérité, le temps tire à sa fin pour se préparer … cela va venir beaucoup plus tôt que n’importe qui puisse le croire.
Source: gold-up






Bruxelles est entrain de négocier un hair cut de 70% sur les obligations grecques. Cela signifie que pour 1 euro d’obligation, les créanciers ne devraient récupérer que 30 centimes ! Un précédent est en passe de se jouer dans toute l’Europe. D’après Ann Barnhardt de Barnhardt Capital Management et spécialiste expérimentée des contrats Futures, l’apocalypse est proche si les négociations sont signées de cette manière.
Le glas des grandes banques américaines et le système financier au total serait-il entrain de sonner ?
Les CDS sont des polices d’assurance que les investisseurs ont négocié, très semblables à des options. L’acheteur paie une prime, ou taxe, à celui (le vendeur) qui émet le contrat du CDS permettant de garantir le défaut de paiement sur une obligation ou une dette.
L’acheteur verse donc une prime de CDS, et le vendeur garantit le défaut de paiement. Ce dernier prend donc en charge l’obligation de garder toute la valeur de récupération si un défaut se produit.
Voici le scénario apocalyptique si un « hair cut » de 70% est validé par l’Eurozone :
Les porteurs d’obligations vont prendre de plein fouet une coupe de cheveux de 70%, mais l’institution qui établie réellement ou non un défaut (l’International Swaps and Derivatives Association (ISDA)) déclarera que cet événement de crédit n’est pas un défaut, et donc toutes les banques et les entités qui pensaient que leurs positions de la dette européenne étaient couvertes par leurs CDS verront qu’ils n’avaient aucune protection.
BOOOOM !
L’argument présenté par l’ISDA devrait se positionner sur un défaut partiel de 70% non établi comme un « hair cut ». Ceci est, bien sûr, une bombe atomique financière…
En tant que particulier, essayez de payer seulement 30% de votre prêt immobilier et observez = avec quelle rapidité le mot «défaut» sera utilisé. Ils utilisent le chiffre de 70% car un gain de 30% est tout juste suffisant pour prétendre qu’un défaut TOTAL n’a pas eu lieu. Cela n’a aucun sens, mes chers lecteurs !
Pourquoi ?
Réponse : Car la valeur de récupération est l’un des concepts centraux dans le fonctionnement des contrats CDS. Le VENDEUR obtient les droits de valeur de récupération, ce qui implique par définition que le défaut n’a pas besoin d’être à 100% pour les déclencher !!!
C’est un fonctionnement binaire :
Vous êtes en défaut ou vous ne l’êtes pas, POINT.
Goldman Sachs et J. P. Morgan sont des dinosaures-émetteurs de CDS !
MF Global a subi de plein fouet le déclenchement des CDS obligataires européens qui couvraient les positions de leurs clients. Toutes les maisons de courtage, entreprises d’investissement, fonds de pension américains (encore en vie pour combien de temps ?) le font !
Goldman Sachs et JP Morgan sont sûrement assis sur une position courte nette en Europe, en pariant tranquillement contre du papier européen.
Si jamais nous faisons face à un défaut complet, la 3ème Guerre Mondiale serait le résultat…


Les oligarques bankster seraient tenus de déclarer un nouveau gouvernement mondial totalitaire, et saisir tous les biens privés.

Game over pour tous et retour à la terre en moins de 5 jours…

Source: gold-up

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