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29 janv. 2012

Le sursis pour la Californie est-il raccourcis ?

Après l’Indonésie, c’était le Chili, puis ce fut au tour du Japon à subir la colère de la Terre. Il se pourrait que le prochain coup soit pour la Californie. Suite au séisme de 7.2 en Basse Californie le 04/04/2010, s’est ouvert, l’étude des fréquences des séismes, sur les 700 dernières années sur la faille de San Andreas à Carrizo Plain au Nord-Ouest de Los Angeles. Elle a révélé que le nombre de séismes majeurs dans la région, étaient de loin supérieurs à tout ce qui était prétendu par les scientifiques jusqu’ici.

Californie.

Le dernier gros séisme remonte à 1857 soit plus de 150 ans, or les relevés en question prouvent que leurs intervalles varient de 45 à 144 ans. L’idée selon laquelle un séisme majeur se produit « que » sur une faille et « tous les 200 à 400 ans » est totalement fausse. L’étude a poussé l’USGS à finalement admettre de remettre en cause l’ancienne idée, qu’un megaséisme se doit d’être espacé très largement dans le temps. Art. du 21/08/10.
D’autre part et là cela devient alarmant, dans les jours qui ont suivi la succession de séismes, 6.3 et 4.6 au Chiapas et 4.4 Jalisco (Mexique) le 21 janvier 2012, et celui durant la nuit qui suivait, de 4.6 dans le Golf de Californie à 250km de la frontière, a eu lieu un colloque scientifique ralliant tout le gratin mondial d’experts géologues, géophysiciens, volcanologues, etc, dans un centre de recherche de Baja California. Certains des invités ont été conviés pour participer à un atelier d’astronomie, il n’en a rien été, suivant certains contacts. Suite à la lecture d’un document pêché par hasard sur Wikistrike en faisant une recherche sur les megaséismes. N’en croyant pas ce que je lisais j’ai de suite appelé certains collaborateurs notamment US, et cela m’a été confirmé, le risque du « Big One » c’est vu considérablement rapproché, certains parlent de quelques semaines à quelques mois tout au plus.

Durant le deuxième semestre de 2011, une autre étude avait déjà mis en évidence, des changements dans la structure du plancher côtier, des marins pêcheurs avaient décelés une faille encore inconnue de tous, en fait il s’agissait d’une faille nouvellement ouverte, l’armée et la Nasa ont procédé à des relevés, qu’ont-ils donnés nul ne sait !! Donc en claire si un megaséisme viendrait à se produire très prochainement le long de la faille de San Andréas, on aurait de quoi s’inquiéter. Les analyses spectrométriques et de températures de l’atmosphère ont mis en évidence une augmentation de quelques degrés en un espace de temps très court au-dessus de la Basse Californie. C’est grâce à une telle observation, peu avant le séisme du Japon, le satellite de passage au-dessus, a enregistré le même phénomène durant les trois jours le précédant. Depuis, il passe quotidiennement au-dessus de la Californie et l’image est la même, ce qui laisse supposer l’imminence d’un important évènement géophysique. D’ailleurs tous les représentants scientifiques qui sont employés dans ce centre ont été cordialement mais fermement conviés de se trouver un autre site pour leurs recherches.

Des risques minimisés et ignorés.

Le souci majeur d’un tel séisme à cet endroit, c’est le fameux « Big One », l’effondrement d’une partie de la Californie dans l’océan. Durant des générations, tant les pouvoirs publics que scientifiques, ont convaincu les populations que rien ne pouvait atteindre la souveraineté des Etats Unis. Déjà qu’ils l’ont payé très cher le 11 /09, mais visiblement la leçon n’a pas suffis. Et au regard de la densité de population qui occupe cette région souvent regroupée en mégalopoles, un évènement de cette envergure ne peut que laisser peu de chance d’en réchapper. Les quelques infrastructures publiques répondants aux critères parasismiques auront déjà bien du mal à résister, que dire du reste et principalement les logements particuliers et bureaux.

Lorsque nos responsables sont confrontés à de tels aléas, ils affichent bien souvent une telle assurance, qu’elle en devient artificielle et obscène, mais derrière cela, la crainte de voir survenir cet évènement tant redouté, les hantes. Malgré tout, ils ne bougent pas plus et ne prennent pas les décisions qui s’imposent laissant « lâchement » cette charge à celui qui le suivra. Et actuellement la crise ayant miné un peu plus les budgets nationaux, fait que ce manque de moyens va encore retarder d’avantage la concrétisation des dispositions en vue de sauver le plus grand nombre de citoyens. Cette nonchalance n’est à attribuer qu’aux seuls politiciens, mais aussi aux scientifiques qui, par leur prétention de détenir « la » connaissance ont conduits le monde là où il en est. Ce sont eux aussi qui après consultation, sont à la bases de bien des décisions politiques, quand ils ne l’imposent pas de gré ou de force voire par chantage.

De plus, suivant ce risque immense qui nous guète, il y a l’ombre de Yellowstone qui plane. Plusieurs géologues et géophysiciens actifs sur le site-même, ont alliés d’autres scientifiques pour constituer une association ayant pour but de faire reconnaître Yellowstone ainsi que d’autres sites à risques, pour danger « imminent ». Donc ça laisse sous-entendre que le risque est devenu bien réel. Quant à la faille de New Madrid, j’ai eu confirmation d’un géologue, sur des analyses que je lui ai transmis, il est aussi formel que moi, elle démarre dans l’Alabama longe les Appalaches, passent par le Vermont, le fleuve Saint-Laurent et se perd dans les fonds Atlantiques. Le Lac Ontario renfermerait une caldeira. Observation faite par un groupe d’étudiants canadiens qui suite à une succession de petites secousses, et le séisme du 23 juin 2010 5.0, le plancher du lac a présenté une légère surélévation. Il s’est élevé de 3 cm jusqu’au séisme de New York 5.9 le 23 août 2011.

Canaries.

Par ailleurs et là, je n’avais pas fait attention tout de suite, début de semaine j’ai pris contact avec l’IGN.es pour un curieux signal enregistré sur leurs sismographes. Ces signaux ont débuté au 1er janvier 2012, mais ceux dont je parlais, concernaient les 21, 22 et 23 janvier. D’après le centre, aux dates et heures concernées, il s’agissait de téléséismes, soit des séismes se produisant jusqu’à 3000 km du point d’enregistrement soit, au Chili, les îles Sandwich, mais aussi « le Chiapas », pourquoi seulement que pour un seul séisme au Chiapas alors qu’il y en a eu 3(voir plus haut) survenus quasi sur le même jour. De plus je ne comprends pas que cela concerne certains séismes et non les autres, comme par exemple ceux du Dodécanèse qui sont plus près et n’ont pas de signature sur le sismographe de l’IGN. Par ailleurs, si effectivement pour les dates du Chiapas, ils sont ressentis sur les Canaries avec un 6.3 et même un 4.6, je n’ose imaginer ce que ça donnerait avec un 9 en Californie. La palma est alors une menace pour l’Atlantique.

En ce qui concerne les Canaries, comme je le signalais auparavant, depuis le 01/01/12 il est enregistré des signaux assez particulier, jusque là pas de soucis ils ont été identifié, mais par contre à partir du 17/01/12 on peut apercevoir un épaississement du trait sur les sismographes de toutes les îles à l’exception de Tenerife et de El Hierro. Ce qui identifie sans se tromper, une activité magmatique sous les îles concernées, « y compris LA PALMA » où sont présents, de petits séismes 1.2 à 2.3. (?????).





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