Encore des polémiques…Vu la somme de candidats qui « aiment » la France, il serait grand temps que toutes ces bonnes volontés trouvent un terrain d’entente, et œuvrent pour sortir la France et les Français, de ce marasme qui est parti pour durer. Mais c’est certainement trop leur demander, marre de leur guéguerre de communication, s’ils sont couillus, s’ils veulent notre bien et celui du pays, il faut qu’ils le prouvent au lieu de s’écharper par médias interposés.
Eva Joly, candidate EELV à l'élection présidentielle de 2012, le 9 juin 2011. C. PLATIAU/ REUTERS
POLÉMIQUE – La présidente du FN avait jugé qu’elle proposait des mesures «très francophobes»…
Eva Joly n’a pas l’intention de se laisser faire. Attaquée régulièrement par le FN sur sa double nationalité, mise en cause mardi violemment par Marine Le Pen pour ses propositions «très souvent francophobes», la candidate écologiste a répliqué mercredi sur le même ton et au même micro, celui d’Europe 1. «Ce n’est pas à la fille héritière de milliardaire, de parti et d’un tortionnaire en Algérie de décider qui est français ou pas», a-t-elle tancé sur Europe 1.
Surtout, la Franco-norvégienne est «la seule candidate à avoir choisi la France», a-t-elle fait valoir. Elle a jugé que «face à la crise, l’agressivité et la haine de Marine Le Pen ne servent à rien. Elle ferait mieux de travailler son programme».
«Nous verrons bien qui aime vraiment la France»
Et pour clôre toute polémique, Eva Joly est même «prête à débattre avec elle quand elle voudra et nous verrons bien qui aime vraiment la France», a-t-elle prévenu.
La présidente du FN avait pilonné la candidate écologiste mardi matin, en expliquant qu’elle tenait des propositions «délirantes» et «très francophobe», comme la suppression du défilé du 14-Juillet, et qu’elle marquait «son hostilité à l’égard de tout ce qui symbolise le patriotisme».
M.P.
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