Probablement sur requête de la dictature socialiste, la page officielle de soutien à Estéban Morillo, jeune nationaliste qui croupit dans les geôles de la République parce qu'il a eu le malheur de se défendre contre des militants d'extrême-gauche dont l'un d'eux est accidentellement décédée, a été purement et simplement supprimée sur Facebook.
Une nouvelle page a été immédiatement créée.
Après les dissolutions, les violences policières, les condamnations iniques, voici la censure du net.
Après les dissolutions, les violences policières, les condamnations iniques, voici la censure du net.
La prochaine étape pour le gouvernement socialiste sera-t-elle l'internement des opposants politiques dans des hôpitaux psychiatriques ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire