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16 janv. 2014

Royaume-Uni : orgies pédophiles, cocaïne et omerta

http://fr.sott.net/image/image/s8/165579/full/93018124.jpgLes autorités anglaises doivent commencer à s'agacer : malgré des dizaines d'années à s'acharner à étouffer toutes les affaires de réseaux pédophiles, les accusations n'en finissent pas.

La dernière en date est encore bien embêtante : un réseau pédophile « niché au cœur du gouvernement » donnait aussi dans
le meurtre d'enfants. Évidemment, tout cela remonte au début des années 80, mais il ne faudrait pas croire que tout s'est brusquement arrêté, d'autant plus que personne n'a jamais été condamné à part quelques sous-fifres qui passent pour des prédateurs isolés.

L'info est sortie ce week-end et a déjà relancé le scandale. La police serait en train de mener des recherches au sujet d'un réseau pédophile dans lequel on trouvait de gros politiciens et quelques célébrités. Le même mélange qu'à Elm Guest House, Jersey, ou encore dans les orphelinats du Pays de Galles.

Cette enquête ferait suite aux déclarations d'un certain Andrew Ash, qui explique qu'une ancienne députée et des congénères masculins ont participé à des orgies pédophiles où des drogues telles que de la cocaïne et du speed coulaient à flots, dans les années 80.

Il y avait peu de femmes députés à cette époque. Parmi elles, il y avait Margaret Thatcher, avant qu'elle ne devienne premier ministre. Et on sait que Thatcher était une grande amie de Jimmy Savile, avec qui elle aurait passé pas moins de 11 réveillons consécutifs. Elle avait aussi tenté de le faire anoblir cinq fois avant que ça ne finisse par marcher, malgré les réticences de son entourage. Peut-être que Savile était déjà trop sulfureux à ce moment...

Il y avait aussi Virginia Bottomly, femme de Peter Bottomly, cité dans l'affaire Elm Guest House, ou encore Harriet Harman, soutien du Paedophile Information Exchange à cette époque, qui réclamait l'abaissement de l'âge du consentement sexuel.

Ash, qui a désormais 45 ans, a décidé de parler publiquement parce qu'il est fortement agacé par l'inertie des flics dès qu'on leur balance une histoire de réseau, surtout quand ce réseau inclut quelques « élites ». On le comprend, on a le même problème en France. D'ailleurs en France, personne n'ose dénoncer cela, enfin bref. En l'occurrence, Ash a parlé durant 70 heures aux enquêteurs, qui manifestement ne bougent pas.

Il ne reste donc qu'à divulguer publiquement l'étendue de ce réseau, qui ressemble à celui dont on entend parler aux quatre coins du pays depuis bientôt 30 ans. Mais à chaque fois, depuis l'affaire Waterhouse au sujet des abus dans les orphelinats du Pays de Galles, depuis l'affaire de l'orphelinat de Jersey (où il y avait déjà des meurtres d'enfants, largement occultés), on a su étouffer les affaires et protéger les noms des persopnnalités impliquées dans le système.

Pourquoi autant d'acharnement? Il se peut que ces perversions dissimulent des chantages, des manipulations d'Etat. Ou même entre Etats. De toute manière, seuls les pourvoyeurs d'enfants risquent de se faire attraper, et toujours avec des charges a minima.

Andrew Ash dit qu'à l'âge de 13 ans, lui et plusieurs autres enfants ont été violés lors de partouzes organisées par David Smith, ex chauffeur de la BBC. Ces faits remontent aux années 80, et ont eu lieu en présence de Jimmly Savile, qui décidément traîne dans tous les scandales du genre.

En tout cas, impossible d'interroger Smith aujourd'hui, car il a eu la bonne idée de se suicider le matin où il devait s'expliquer à son procès, à la fin octobre 2013[1].

Il est intéressant de noter que Ash était alors à la charge des sévices sociaux. C'est depuis son orphelinat qu'on l'emmenait jusqu'à Londres pour se faire violer dans les orgies de cette élite politique, toujours prompte, par ailleurs, à faire la morale au bon peuple. Peut-être que, comme Ash l'espère, d'autres victimes parleront.

D'après lui, le réseau impliquait Jimmy Savile, son chauffeur Smith ainsi que des politiques et des businessmen.


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