Le 19 décembre 2013, un tribunal fédéral américain de Manhattan a statué que les proches des victimes des attentats du 11/9 pouvaient entamer des poursuites contre l'Arabie saoudite annulant, de fait, la décision d’un tribunal de 2002 qui avait protégé le royaume saoudien contre toute action en justice, en vertu de la loi fédérale sur les immunités des Etats souverains étrangers.
Selon les familles des victimes, la plupart des fonds accordés aux terroristes d'al-Qaïda impliqués dans les attaques du World Trade Center et du Pentagone, qui ont fait près de 3 000 morts, provenaient de l'Arabie saoudite.
Kevin Barrett, ancien professeur d'université américain, membre du groupe scientifique de l'enquête du 11/9 et membre fondateur de l'Alliance judéo-musulman-chrétien (MUJCA), rejette la version officielle selon laquelle l’Arabie saoudite est une « marionnette des États-Unis et d'autres pays occidentaux ». Il ajoute qu’« il n’y a eu ni pirate, ni détournement d’avions, cela a été prouvé à plusieurs reprises. Dix des 19 accusés étaient encore en vie après le 11/9 ! Les services secrets saoudiens ont même été sollicités pour créer une légende et piéger les "pigeons" qui seraient ensuite accusés. »
Un rapport supprimé par l'enquête conjointe du Congrès de 2002, ferait toute la lumière sur les véritables auteurs de ces attaques s’il était publié, souligne M. Barrett. Le document controversé est, cependant, resté classé à ce jour. L'ex-sénateur Bob Graham, qui avait présidé l'enquête à l’époque, a déclaré que le document contenait des informations « mettant en cause un gouvernement étranger »…
Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis étaient un coup monté, mené conjointement par les États-Unis, l’entité sioniste et l'Arabie saoudite avec « les sionistes aux commandes », selon Kevin James Barrett. Susan Lindauer, ancien agent de la CIA, évoque le rôle des renseignements américains dans ces attaques. La CIA connaissait en détail l’heure, les cibles et les ressources utilisées lors des attentats du 11 septembre, plusieurs mois avant les événements, selon l’ex-agent de la CIA qui conclut : « Les mensonges sont bien plus grands que ce que vous ne connaissez ! »
Plus de dix ans après la tragédie, de nombreuses zones d’ombres subsistent. Il n’est pas du tout certain que les coupables aient été arrêtés, ni qu’ils aient payé pour leurs crimes. Les internautes ont la possibilité de relire l’analyse en 5 parties faite par le Parti Anti Sioniste en février 2010 sur ce fameux 11 septembre (Allons-nous vers un nouvel 11 Septembre ?) !
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