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4 janv. 2012

Une Afghane coupe le sexe de son beau-père qui tentait de la violer

Une femme afghane a coupé le sexe de son beau-père avec un couteau
 alors que celui-ci essayait de la violer, a-t-on appris samedi
de source médicale. ( © AFP Adek Berry)
KABOUL (AFP) - Une femme afghane a coupé le sexe de son beau-père avec un couteau alors que celui-ci essayait de la violer, a-t-on appris samedi de source médicale.
"Son mari n'était pas à la maison. Un jour, le beau-père a essayé d'avoir une relation sexuelle avec elle. Sa bru lui a alors coupé le sexe avec un couteau", a raconté à l'AFP un médecin de la province de Ghazni (est).

L'homme n'a pu être traité à Ghazni et a été transporté vers un hôpital de Kaboul, a précisé ce médecin, qui a requis l'anonymat.

Contactée par l'AFP, la police n'a pu apporter de précisions.

Des faits semblables se sont produits récemment dans plusieurs pays d'Asie. En novembre, un mari indien jaloux, aidé par ses deux beaux-frères, a fait boire son rival avant de lui sectionner son organe.

Au mois d'octobre, une Vietnamienne de 30 ans vivant à Taiwan, lasse des frasques de son mari toxicomane, violent et infidèle, lui a coupé pendant son sommeil la moitié du sexe, qu'elle a jetée dans une rivière.

Selon un rapport de l'ONG Oxfam paru en octobre, 87% des femmes afghanes affirment avoir subi des violences physiques, sexuelles ou psychologiques ou un mariage forcé.

La commission indépendante afghane des droits de l'homme a répertorié 1.026 cas de violences contre des femmes durant le second trimestre 2011, contre 2.700 cas pour toute l'année 2010.

Samedi, Sahar Gul, 15 ans, a raconté depuis son lit d'hôpital de Kaboul les six mois passés dans les toilettes de la maison de sa belle-famille, qui l'a battue, lui a arraché peau et ongles et l'a brûlée avec des cigarettes. Selon la police, l'adolescente refusait de se prostituer, d'où les tortures.

Plus tôt en décembre, la jeune Gulnaz, âgée de 20 ou 21 ans, a été graciée après avoir passé deux années en prison pour "adultère" pour avoir dénoncé son violeur, le mari de sa cousine. La justice afghane lui a conseillé, pour éviter des représailles familiales, d'épouser ce dernier, de qui elle a eu un enfant.

© 2011 AFP

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