"Je dis des gros mots, je tape, je crache". explique Julien d'après Europe 1.
Cette exclusion, sanction rarissime avait pour but de faire réfléchir l'enfant et ses parents sur la gravité des actes commis.
Un mois plus tard, Julien n' est pas retourné en classe car ses parents doivent retrouver une école qui voudra bien l'accueillir.
Isabelle, la maman de Julien tente de justifier le comportement de son enfant.
"Il n’a quand même pas essayé de tuer quelqu’un. Il n’a plus de repère le matin pour se lever : il doit aller à l’école".
Pour elle, on ne peut pas se contenter "d'éjecter un enfant sous prétexte qu'il ne rentre pas dans le moule"
La solution viendra peut-être d'une école du département voisin, l'Ile-et-Vilaine qui pourrait accepter de prendre Julien comme élève.
Source : lepost.fr
1 commentaire:
Ben ouais c'est chaud la bretagne ! Les délinquants sont détecter tôt ! Et maintenant on s'attaque aux LOLITAS ! NON AUX LOLITAS A L'ECOLE !
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