La ville sainte d’Al-Khalil survit sous un blocus, tant colonial qu’économique, sans merci. Sans merci, elle subit les campagnes de judaïsation. Ces campagnes, désormais quotidiennes, sont concentrées surtout dans l’ancien bourg. Les jeunes palestiniens ne peuvent pas rester les bras croisés face à ces agissements sionistes. Ils se voient dans l’obligation de faire quelque chose pour préserver l’aspect, la mémoire, l’histoire de la ville arabo-islamique, pour lui redonner la vie, en dépit de tous ces agissements.
Préserver l’histoire
Afin d’arriver à cet objectif, le comité du travail national de la ville, en coopération notamment avec le comité de la restauration de la ville sainte d’Al-Khalil, a lancé une campagne nationale sous le nom « Al-Khalil, mémoire et histoire ». Elle consiste à faire venir des jeunes palestiniens de toutes les villes palestiniennes et même de celles occupées en 1948 afin de visiter la ville sainte et son ancien bourg et de se rendre compte de leur patrimoine, de leur histoire, de l’histoire de la ville que les occupants sionistes essaient par tous moyens de falsifier.
Hossein Yahya, coordinateur du volontariat palestinien, dit que la campagne a pour objet d’organiser des voyages amenant des jeunes et des étudiants palestiniens à la ville d’Al-Khalil, surtout son ancien bourg. Ces voyages ont pour objet de rendre la vie à la ville, de soutenir ses souks, son économie, son tourisme, de soutenir surtout la résistance de ses habitants qui survivent dans un blocus douloureux, étouffant, mortel.
L’économie et le tourisme
L’ingénieur Amad Hamdan, directeur du comité de la restauration de la ville d’Al-Khalil, dit de son côté que cette campagne fait partie d’une série d’activités destinées à activer l’économie et le tourisme de l’ancien bourg, à attirer les gens vers les rues, les ruelles, les souks de l’ancien bourg et la sainte mosquée d’Al-Ibrahimi.
Les jeunes palestiniens devront se rendre compte de leur patrimoine sur tous les niveaux : humain, religieux, culturel. Ils devront faire quelque chose pour activer la vie locale, soutenir la résistance locale.
La résistance locale
Pour sa part, Amer Awadallah, directeur général du bureau culturel de la mairie d’Al-Birah, dit que la campagne vise à soutenir la résistance des habitants de l’ancien bourg d’Al-Khalil. Elle vise également à renforcer les liens géographiques et humains entre toutes les villes palestiniennes.
La campagne a commencé par une exposition de photos, exposant la situation politique et économique de l’ancien bourg, exposant aussi les réalisations du comité de la restauration de la ville, en seize ans.
Puis il y a eu une tournée dans le saint sanctuaire d’Al-Ibrahimi, dans les sites historiques et touristiques dont le hammam turc. Il y a aussi eu une conférence autour du patrimoine culturel de l’ancien bourg.
Contraintes sionistes
Avec de telles activités, les Palestiniens essaient de rendre la vie à leur ville sainte. Face à cette volonté, les occupants sionistes ne restent jamais paisibles. Ils font tous pour les déranger. Ils ferment les grands portails. Ils lâchent leurs colons pour gêner, encombrer, semer la peur chez les jeunes visiteurs. Ils lâchent leurs patrouilles pour les mêmes raisons. Partout, ils installent des barrages et fouillent les étudiants, les faisant attendre pour de longues heures sous prétexte de vouloir vérifier leurs identités sur leurs ordinateurs.
C’est une bataille entre les sionistes qui occupent la terre injustement et des Palestiniens qui ont tout droit sur leur terre, dans leurs villes, dans leurs mosquées, qui ont le droit de défier l’occupation et la judaïsation.
Préserver l’histoire
Afin d’arriver à cet objectif, le comité du travail national de la ville, en coopération notamment avec le comité de la restauration de la ville sainte d’Al-Khalil, a lancé une campagne nationale sous le nom « Al-Khalil, mémoire et histoire ». Elle consiste à faire venir des jeunes palestiniens de toutes les villes palestiniennes et même de celles occupées en 1948 afin de visiter la ville sainte et son ancien bourg et de se rendre compte de leur patrimoine, de leur histoire, de l’histoire de la ville que les occupants sionistes essaient par tous moyens de falsifier.
Hossein Yahya, coordinateur du volontariat palestinien, dit que la campagne a pour objet d’organiser des voyages amenant des jeunes et des étudiants palestiniens à la ville d’Al-Khalil, surtout son ancien bourg. Ces voyages ont pour objet de rendre la vie à la ville, de soutenir ses souks, son économie, son tourisme, de soutenir surtout la résistance de ses habitants qui survivent dans un blocus douloureux, étouffant, mortel.
L’économie et le tourisme
L’ingénieur Amad Hamdan, directeur du comité de la restauration de la ville d’Al-Khalil, dit de son côté que cette campagne fait partie d’une série d’activités destinées à activer l’économie et le tourisme de l’ancien bourg, à attirer les gens vers les rues, les ruelles, les souks de l’ancien bourg et la sainte mosquée d’Al-Ibrahimi.
Les jeunes palestiniens devront se rendre compte de leur patrimoine sur tous les niveaux : humain, religieux, culturel. Ils devront faire quelque chose pour activer la vie locale, soutenir la résistance locale.
La résistance locale
Pour sa part, Amer Awadallah, directeur général du bureau culturel de la mairie d’Al-Birah, dit que la campagne vise à soutenir la résistance des habitants de l’ancien bourg d’Al-Khalil. Elle vise également à renforcer les liens géographiques et humains entre toutes les villes palestiniennes.
La campagne a commencé par une exposition de photos, exposant la situation politique et économique de l’ancien bourg, exposant aussi les réalisations du comité de la restauration de la ville, en seize ans.
Puis il y a eu une tournée dans le saint sanctuaire d’Al-Ibrahimi, dans les sites historiques et touristiques dont le hammam turc. Il y a aussi eu une conférence autour du patrimoine culturel de l’ancien bourg.
Contraintes sionistes
Avec de telles activités, les Palestiniens essaient de rendre la vie à leur ville sainte. Face à cette volonté, les occupants sionistes ne restent jamais paisibles. Ils font tous pour les déranger. Ils ferment les grands portails. Ils lâchent leurs colons pour gêner, encombrer, semer la peur chez les jeunes visiteurs. Ils lâchent leurs patrouilles pour les mêmes raisons. Partout, ils installent des barrages et fouillent les étudiants, les faisant attendre pour de longues heures sous prétexte de vouloir vérifier leurs identités sur leurs ordinateurs.
C’est une bataille entre les sionistes qui occupent la terre injustement et des Palestiniens qui ont tout droit sur leur terre, dans leurs villes, dans leurs mosquées, qui ont le droit de défier l’occupation et la judaïsation.
Source : palestine-info
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