Simultanément à la poursuite des raids aériens de l’armée turque contre le Nord irakien, sous prétexte de lutter contre les forces du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), la Commission de la sécurité et de la défense du parlement irakien s’est opposée à la prolongation de l’autorisation accordée en 1995 à la Turquie d’entretenir des bases militaires dans le Nord-irakien.
Le député irakien M. Qassem Araji, membre de la Commission de la sécurité et de la défense du parlement , a déclaré que la poursuite des activités de ces bases va à l’encontre des intérêts du peuple et du gouvernement irakien.
« La prolongation de cet accord est considérée comme une violation de la souveraineté de l’Irak », a-t-il souligné.
Auparavant, le gouvernement irakien avait rejeté la proposition du parlement turc concernant la prolongation de cet accord, en précisant que Bagdad n’admettait plus l’entrée de militaires étrangers sur son sol sous prétexte de la lutte contre les groupes rebelles.
L’ancien régime de Saddam Hussein avait signé cet accord avec la Turquie en 1995, en autorisant l’armée turque à entretenir une grande base militaire, dans le Nord de l’Irak pour se battre contre les éléments du PKK.
Depuis cette date, les forces turques bombardent, de temps à autre certaines régions du Kurdistan irakien et lors de ces opérations il arrive, parfois que des civils soient tués ou blessés.
Cette semaine, l’aviation turque a bombardé les hauteurs de Kandil pour détruire les bases des rebelles du PKK.
Le PKK a lancé la lutte armée contre le gouvernement turc en 1984.
Depuis, plus de 40.000 personnes ont été tuées, lors des affrontements entre le PKK et les forces gouvernementales.
Les bombardements successifs du Nord de l’Irak par l’armée turque ont terni les relations entre Ankara et Bagdad, depuis plusieurs années. Les autorités irakiennes, notamment, le Premier ministre Nouri al-Maliki, ont condamné à plusieurs reprises les agressions de l’armée turque contre leur territoire estimant que l’un des objectifs de ces opérations est d’affaiblir la position du gouvernement central en Irak.
Le député irakien M. Qassem Araji, membre de la Commission de la sécurité et de la défense du parlement , a déclaré que la poursuite des activités de ces bases va à l’encontre des intérêts du peuple et du gouvernement irakien.
« La prolongation de cet accord est considérée comme une violation de la souveraineté de l’Irak », a-t-il souligné.
Auparavant, le gouvernement irakien avait rejeté la proposition du parlement turc concernant la prolongation de cet accord, en précisant que Bagdad n’admettait plus l’entrée de militaires étrangers sur son sol sous prétexte de la lutte contre les groupes rebelles.
L’ancien régime de Saddam Hussein avait signé cet accord avec la Turquie en 1995, en autorisant l’armée turque à entretenir une grande base militaire, dans le Nord de l’Irak pour se battre contre les éléments du PKK.
Depuis cette date, les forces turques bombardent, de temps à autre certaines régions du Kurdistan irakien et lors de ces opérations il arrive, parfois que des civils soient tués ou blessés.
Cette semaine, l’aviation turque a bombardé les hauteurs de Kandil pour détruire les bases des rebelles du PKK.
Le PKK a lancé la lutte armée contre le gouvernement turc en 1984.
Depuis, plus de 40.000 personnes ont été tuées, lors des affrontements entre le PKK et les forces gouvernementales.
Les bombardements successifs du Nord de l’Irak par l’armée turque ont terni les relations entre Ankara et Bagdad, depuis plusieurs années. Les autorités irakiennes, notamment, le Premier ministre Nouri al-Maliki, ont condamné à plusieurs reprises les agressions de l’armée turque contre leur territoire estimant que l’un des objectifs de ces opérations est d’affaiblir la position du gouvernement central en Irak.
Source : Al-Manar
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