La porte-parole du Ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié de purs mensonges, les récentes allégations du rapporteur spécial de l'ONU pour les droits de l’Homme sur des exécutions sommaires et l’exécution des prisonniers politiques en Iran. La porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marzieh Afkham a indiqué que ces allégations du rapporteur spécial de l’ONU pour les droits de l’Homme étaient contraires à la vérité et aux responsabilité professionnelles du rapporteur.
« Les points de vue de principe de la République islamique d’Iran sur la peine capitale ont été expliqués plusieurs fois dans les prises de positions officielles de Téhéran ainsi qu’en réponse aux rapports établis par le rapporteur spécial de l’ONU. Les allégations sur la hausse du nombre des exécutions et la présentation des chiffres basés sur les allégations des sources non authentiques discréditent les déclarations du rapporteur onusien, a ajouté Mme Marzieh Afkham.
Elle a également précisé : «Malheureusement le processus des activités du rapporteur de l’ONU montre qu’il n’est pas à la recherche des raisons authentiques et en dépit des explications documentées de l’Iran, ses allégations poursuivent des fins totalement politiques ».
La porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a de même affirmé que selon les lois en vigueur en Iran, la peine de mort s’applique exclusivement pour punir les délits les plus graves tels que le trafic de drogue.
« La mise en danger de la santé des citoyens, le transit d’envergure et organisé des stupéfiants, conjugués à des actes terroristes, étant donné la situation géographique de l’Iran, sont des aspects préoccupants du trafic de drogue, a conclu Mme Marzieh Afkham.
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