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11 juin 2012

Les américains et l’ISI ont toujours su où était Ben Laden (XI)

Un témoignage capital oublié, complètement occulté par la presse traditionnelle malgré le fait qu'il était à l'origine fait par une équipe réputée, qui a tenu à respecter toutes les formes pour en faire un témloignage sûr. Il nous éclaire sur une toute autre version des faits, celle surtout de l'accident qui serait survenu à cet hélicopère si particulier dont on a retrouvé la queue intacte à l'extérieur du mur d'enceinte non pas de la villa-c'est à préciser- mais d'un terrain attenant à celui sur lequel était bâti la villa. 

Un témoignage sidérant, qui replace le raid dans un contexte de déjà vu bien trop traumatisant pour être accepté par l'opinion amércaine : celui de la désastreuse opération Eagle Claw déclenchée par Carter les 24 et 25 avril 1980, qui avait laissé derrière elle des cadavres de soldats US carbonisés que l'Amérique avait dû cacher au maximum à sa population, sans réussir totalement à y parvenir (il faudra attendre une bonne vingtaine d'années pour qu'on puisse les voir tous). 

Tout cela, en effet, à partir de traces que nous avions déjà trouvées bien intriguantes le lendemain même de l'événement. On ne laisse pas au sol des matériaux aussi stratégiques que ceux ornant la queue du "monstre d'Abbottabad" sans avoir derrière soi une lourde facture de bavure en opération. L'opération "Neptune Spear" - le Trident de Neptune - (ou "Geronimo" nom de code donné à Ben Laden lui-même), décrite comme une réussite par l'administration d'Obama, est un fiasco de la même teneur, sinon pire que celle de la tentative d'aller sauver les otages américains retenus par les iraniens il y a plus de trente ans maintenant. Et comme celle-ci avait coûté sa réelection à Jimmy Carter, il fallait inventer au plus vite une fable pour masquer le désastre. Autant choisir la plus grosse, et se débarrasser par la même occasion des huit années de mensonge entretenus par l'administration précédente. 

L'opération Eagle Claw ? Ce désastre complet de l'ère Carter ? Tout de suite, j'y avais pensé, à vrai dire, à découvrir au lendemain du raid les vestiges d'un hélicoptère lourd dans le jardin de la villa annoncée comme celle de Ben Laden. Même restes insignifiants, tant les machines modernes sont faites de matériaux composites, qui, quand ils brûlent, ne laissent que fort peu de choses de tangibles. 

La structure de l'engin est en effet auto-porteuse, il n'y a pas de "chassis" interne, comme on dirait en automobile sauf pour la queue dans la version classique, faite de renforts et de raidisseurs. Les deux enfants montrés ici à gauche iront ramasser des débris à une bonne distance de l'aire d'atterrissage, comme one peut le voir sur la photo, avec la villa en fond de plan de prise de vue. Un BlackHawk actuel, lorsqu'il est incendié, se retrouve réduit en effet à peu de choses : essentiellement son moyeu de rotor, pièce principale la plus lourde avec ses deux turbines qui surmontent son fuselage, fait de tôles d'aluminium mince et de matériaux composites. 

Lors de l'opération Eagle Claw, de plus lourds CH-53 s'étaient retrouvés dans le même état, une fois incendiés (sur la photo c'est un moteur d'Hercules que l'on distingue en fait). A Abbottabad, l'impression était bien la même : quelque chose de grave s'était bel et bien passé avec cet hélicoptère. Et l'explication donnée par l'armée US encore une fois bien mince ("problème technique" était le seul mot entendu de la part de l'administration US à la suite des images de l'appareil détruit). Mais il y avait tout d'abord une chose bien intriguante : l'emplacement exact de la chute de l'appareil. Car en réalité, le lourd hélicoptère n'avait pas chuté dans l'enceinte même de la villa, mais dans le terrain voisin, comme s'il était en train d'arriver sur place, ce qu'indiquerait... sa queue, laissée à l'extérieur du bâtiment, non détruite par le feu. L'élément le plus intriguant découvert le soir même de l'opération car révélant un appareil non répertorié au sein de l'armée américaine : un prototype, du type "stealth" (invisible) entièrement fait de matières composites. 

Un prototype qui fait le délice dès le lendemain de tous les passionnés, tant l'élément montré comme seul intact, le rotor de queue et la queue elle-même intrigue. Rien à voir avec celle habituelle à 4 pales d'un Blackhawk, fut-ce t-il récent comme ceux constuits sous licence en Pologne par PZL Mielec sous l'appellation S-70i (premier exemplaire le er juin 2010, ici sa cellule renforcée en détail). Des engins sur lesquels des efforts ont été faits pour limiter le bruit, notamment en les équipant de bouts de pales de rotor principal en forme de cimeterres ou de boomerangs, pour les prototypes suivants (ici un exemple de chez Eurocopter). Question équipement de bord, il bénéficie obligatoirement du "glass cockpit" installé sur le S-70i ou le UH60M : les petits écrans anciens ont laissé place à de grands LCD.  

Un engin qui d'après la forme de la queue laissée intacte est l'héritier direct du programme Comanche abandonné après des années de dépenses faramineuses, mais ayant permis la mise au point de fuselages à facettes, comme sur le premiers appareils "invisibles" tels que le F-117. Des dessinateurs assez talentueux vont vite proposer des représentations plausibles de l'engin, qui seront même affinées au fur et à mesure des renseignements glanés ici et là sur l'opératon ou le constucteur. On aura donc en tête ceci comme "Stealth Blackhawk" (extrait de l'excellent site The Avionist de l'italien David Cenciotti (*) : 

Comme seule explication donnée au crash, on avait évoqué un phénomène classique de retour d'air chaud soufflé par les pales... et la destruction à l'explosif des vestiges par le commando lui-même, afin de ne pas laisser à l'adversaire, ou plutôt au pays envahi, les preuves ce l'utilisation d'un engin peu courant. Le hic étant que les fameux commandos avaient oublié de faire de même avec le bout de l'engin resté de l'autre côté du muret, ce qu'aucune équipe professionnelle d'espionnage n'aurait osé laissé faire. Bref, les morceaux profondément incendiés, plus le morceau à l'extérieur intriguaient, pour sûr, évoquant une autre solution pour sa destruction que celle avancée. Un départ précipité, surtout, seul capable d'expliquer le bout restant compromettant. Comme intrigueront les morceaux tès nombreux retrouvés dans les jours qui suivront par les gamins du quartier, qui s'amuseront même devant les caméras à en montrer plusieurs,retrouvés à une bonne centaine de mètres du point de chute, te le bouchon d'essence rouge de l'appareil. Des hélicoptères se crashent régulièrement, et on n'assiste pas aux mêmes dégâts, même si l'appareil doit être détruit par mesure de sécurité. Ici le 13 janvier 2009, un BlackHawk s'était crashé sur le pelouse de l'Université du Texas A&M, lors d'un décollage raté. Il y a avait eu un mort. Retombé d'une basse altitude relative (trop basse pour se mettre en auto-rotation !), si l'engin et sa structure avait relativement (mal) résisté, en tout cas, il n'avait pas projeté alentour des centaines de débris. Une terrible photo avait été prise lors du contact avec le sol : elle montrait qu'en ce cas, des débris étaient certes projetés loins, mais que l'appareil gardait son intégrité. Ce jour-là, ironie du sort, le pilote se tuait sur le campus même où il avait fait ses études. Quatre hommes à bord s'en sortaient vivants, mais blessés. L'engin s'était élevé à 30 mètres de hauteur avant de retomber comme une masse.

Dans le crash d'Abbattobad, ce sont ces deux éléments donc qui m'avaient donc intrigué : l'emplacement exact de l'impact, le sens dans lequel il avait abordé ce qui semblait bien être un atterrissage dans ce qui servait de potager à la villa dite de Ben Laden, bien connu des résidents locaux (certains y avaient été embauchés), et les énormes traces d'incendies sur les murs intérieurs (seuls), mais aussi la foulitude de petits morceaux retrouvés éparts bien loin parfois du lieu d'impact. Ce sont les gamins du quartier qui s'amuseront à faire la collecte de ce que visiblement les services pakistanais auront oublié de ramasser : qui un bout de revêtement, qui une vanne d'essence ("pump fuel booster"), qui des éléments électriques, voire le bouchon principal à kérosène, retrouvé bien loin de l'impact lui aussi commme on peut le découvrir ci-contre à droite). Un journaliste de The Economist tombant lui par hasard sur un élément plus précieux encore, car montrant une inscription... et une date, certainement de fabrication : SCFV12A107-3, puis aux lignes suivantes REV et 6-25-09. L'appareil daterait donc du milieu de l'année 2009 comme construction. Récent, donc, très récent, sachant qu'il faut une année au moins (minimum) pour monter pièce par pièce un pareil engin. Il aurait été construit dans les hangars de Sikorsky à Elmira, dans les locaux de Schweitzer, fabricant de planeurs de concours renommmés et auteur désormais de "black projetcts" tel l'avion silencieux SA-2 37B (ou de l'étrange RU-38B), des projets devenus Black Hawks, resté au secret sur Google Earth, où un batîment datant de 2006 a simplement été... flouté puis effacé (ici le contenu du hangar "officiel"). On a bien affaire à des "black ops"... à savoir des engins destinés à la CIA ! 

Pour ce qui est du sens du déplacement de l'engin, et ce qu'il s'apprêtait à faire, était bien un atterrissage et non un décollage, et c'était bien de l'extérieur vers le second terrain servant de potager à la famille résidente, comme l'atteste la présence du bout de queue restant. Les débris encore accrochés du cardan alimentant l'hélice arrière montrant une chute extrêmement brusque et absolument pas contrôlée. Les vestiges à l'intérieur montrant un très violent incendie, déclenché selon la version officielle par les Marines pour éviter de laisser l'hélicoptère aux mains de "l'ennemi" (pakistanais ?). Le problème étant en ce cas les centaines de petits débris qui auraient été projetés au dessus du mur d'enceinte, qui culmine à plus de 5 mètres de haut : qu'est-ce qui avait pu provoquer un tel éparpillement : un commando chargé de détruire un hélico aurait agi avec plus de modération, en l'incendiant simplement, sans le volatiliser sur un grand rayon. Non, l'hypothèse présentée par l'administration ne tenait pas. Celle d'une explosion du corps central en vol davantage, à vrai dire. Avec en ce cas deux possibilités :

- celle d'une atteinte par un missile, ou pourquoi pas par une roquette RPG tirée d'un des balcons de la villa : on a vu des Chinooks se faire ainsi abattre, notamment au décollage, par une arme pas faite pour ça (l'une d'entre elles tuera 38 Marines d'un coup). L'hypothèse du missile Strela est à écarter : il est trop long à metttre en œuvre et n'est pas fait pour cette sorte de tir à bout portant ou presque pour lui. Or, il s'avère qu'aucune RPG n'ait été saisie dans la villa, d'après ce que l'on sait, villa dont les habitants ne disposaient que de pistolets voire de Kalachnikov (c'est encore à vérifier !), qui ne suffisent pas, en général, à faire exploser un hélicoptère (les réservoirs auto-obturants sont prévus pour y résister). Sur le net, on avait vu traîner un temps une histoire de garde du corps qui se serait lancé à l'assaut de l'hélico avec son RPG... oubliant que c'était nuit noire et que l'engin n'était pas si près que ça de la villa en définitive.

- celle de l'erreur à bord d'un des membres du commando, porteur d'explosifs, hypothèse qui est d'autant moins à écarter qu'il s'agît d'un raid nocturne. Une explosion de ce genre, à très faible altitude, expliquerait assez bien les petits débris projetés au dessus de l'enceinte du bâtiment. L'hypothèse également d'une explosion possible du réservoir interne principal (sans tir extérieur), situé juste en arrière de la cabine, expliquerait aussi parfaitement la distance entre le moyeu de rotor principal et l'arrière de l'appareil passé au dessus du mur, trop long pour un appareil "normal", même modifié "stealth". Une "séparation" brusque et catastrophique avait dû avoir eu lieu avant. Elle expliquerait aussi la projection lointaine du bouchon et de la pompe à kérosène, la partie où ils étaient fixé ayant "bénéficié" de la plus grande vélocité de départ, si on peut ainsi dire. En tout cas, la thèse de "l'incident technique", à l'examen des faits, a déjà pas mal de plomb dans l'aile. En fait d'incident, on est bien semble-t-il dans le terrible souvenir de la répétition du désastre d'Eagle Claw. 

Jusqu'ici, il ne s'agît donc que de suspicions. Et puis débarque une interview sidérante d'un des voisins du quartier, Muhammad Bashir, visiblement apeuré d'avoir à dire ses révélations devant une caméra. L'homme a assisté à toute la scène, et la version qu'il nous balaie la version officielle des faits. Il y a bien eu bavure, ayant entraîné la perte de l'hélicoptère "Geronimo" ou "Neptune Spear" est bien un Eagle Claw bis. La vidéo, montrée en août, est appuyée par Paul Craig Roberts, qui n'est pas un inconnu : c'est l'ancine ex-rédacteur en chef du Wall Street Journal (celui qui a révélé récemment la surveillance de la Libye par du matériel d'espionnage français) et un ancien adjoint au Trésor US. Autrement dit, il pèse de tout son poids journalistique pour faire du reportage un document qui se révèle en effet exceptionnel.
Muhammad Bashir : quand les événements se sont produits, nous étions éveillés, nous ne dormions pas.
Muhammad Bashir : un hélicoptère est arrivé, a tourné au dessous de nous , et a laissé descendre certaines personnes là-bas.
Muhammad Bashir : dans cette maison ... où ils disent qu' Oussama vivait ici, sur le toit de cette maison, ils est descendu des gens, et après cela, l'hélicoptère est reparti en faisant demi-tour.

C'est une première indication importante : les américains n'ont lancé dans l'opération qu'un seul appareil de transport, c'est dire déjà à quel point ils ne souhaitaient pas repartir avec les habitants de la villa comme prisonniers. Il étaient venus pour tuer. Ils avaient donc établi pour cela une base arrière, dans les montagnes surplombant Abbottabad. Là où attendaient ce qui pourrait être plutôt des hélicoptères d'attaque, type Cobra ou de transport, type Chinook. L'engin fait en tout cas un étonnant allez-retour (ce qui suppose une "base" provisoire intermédiaire située à quelques kilomètres de là. Sans avoir pris en charge qui que ce soit à bord au second tour, s'étant crashé. Au premier, il n'avait rien emporté, ayant simplement déposé sa dizaine de commandos.
Reporter : Combien de personnes y avait-il ?

Muhammad Bashir : Ils étaient dix, douze personnes. Après cela, il a parti et pendant environ 20 minutes, derrière nous, sur ces montagnes, il a continué à touner au sommet des montagnes. Après 20 minutes, il est revenu. Quand il est revenu, à ce moment là, il y avait deux hélicoptères en plus. L'un est venu à partir de l'Ouest et un autre est venu du Nord. Quand il s'est approché pour l'atterrissage, il ya eu une explosion à l'intérieur et il y a eu le feu dedans, et immédiatement, nous sommes sortis pour voir ce qui était arrivé là-bas. Quand nous sommes arrivés, l'hélicoptère était en feu, il brûlait. Après cela, une vingtaine de minutes plus tard, l'armée est arrivée, la police est arrivée. Ils nous ont tous renvoyés chez nous.


Là, l'affaire est claire : l'hélico "invisible" s'est écrasé tout seul au second trajet, en passant au dessus du mur d'enceinte : logiquement c'était cette fois pour y atterrir. A bord, il semblait bien y avoir d'autres "Marines" faisant partie d'un deuxième voyage. A bord d'un Blackhawk (non modifié), tiennent 11 marines maxi, équipement compris, au grand dam du pilote. Le commando déposé n'est donc pas comme annoncé à la presse (25 Marines y auraient participé officiellement). Et l'interviewé parle d'explosion catastrophique à bord, et non un hélicoptère tranquillement posé comme l'affimera plus tard l'administration d'Obama.
Muhammad Bashir : Les Américains sont venus dans hélicoptère, qui est tombé ici et a été détruit !
Reporter : Il n'y avait qu'un seul hélicoptère ?
Muhammad Bashir : UN hélicoptère a atterri ici-bas, le deuxième hélicoptère venait d'en haut et se dirigeait vers Mansera. Il ne s'est pas posé. Aucun autre deuxième hélicoptère n'a atterri Un seul hélicoptère, le premier qui avait laissé descendre ses passagers, c'est le MÊME qui a revenu avec des personnes à bord et il y a eu une explosion à son bord.
Reporter : Les gens étaient à l'intérieur ?
Muhammad Bashir : Les gens étaient à l'intérieur !
Reporter : Comment savez-vous cela ?
Muhammad Bashir : Nous l'avons tous vu, les gens d'ici ! 
Reporter : Dans l'hélicoptère ... vous avez vu les morts ?
Muhammad Bashir : Nous avons vu des morts !
Reporter : Combien de personnes ?
Muhammad Bashir : Nous ne pouvions pas les compter, dans la propriété, il y avait le feu.
Muhammad Bashir : Et nous ... la porte était ouverte, nous sommes entrés par la porte, à ce moment-là l'armée n'était pas encore arrivée.
Muhammad Bashir : La police n'était pas arrivée. Certaines personnes en provenance des autorités, étaient présentes, mais ils n'ont pas empêché tout le monde de voir, ils ont gardé l'entrée, chaque personne était venu voir, aujourd'hui, personne ne le dit, mais tout le monde du mohalla (quartier) et toutes les personnes présentes dans le quartier sont arrivées les premières. Nous avons vu le portail ouvert, nous sommes entrés à l'intérieur, vu l'hélicoptère en flammes, et les personnes à l'intérieur étaient mortes. Depuis, tout a été enlevé. Maintenant, il n'y a plus rien !


L'interviewé est resté assez longtemps sur place pour tout voir en effet :
Reporter : Vous avez vu le feu et vous avez vu les corps ; et pendant combien de temps êtes-vous resté ?

Muhammad Bashir : Environ, après cinq ou six minutes, je suis parti et je suis sorti après .. cinq, six minutes .. ce qui s'est passé .... la raison pour laquelle nous avons quitté, était que, après que nous soyons entrés, il y a eu une autre petite explosion, je ne sais pas si le moteur explosait, et il y a eu un autre incendie, et une autre une petite explosion, après cette explosion ; tous les gens ont couru dehors.

Muhammad Bashir : Quand nous sommes sortis, personne n'est revenu à nouveau.

Reporter : Combien de cadavres avez-vous vu ?

Muhammad Bashir : Vous savez, vous ne pouviez pas les compter, les cadavres étaient en morceaux tout leurs restes n'était que des morceaux brisés, certains ici, certains là-bas, certains en entier, certains en deux, comme ça.


Voilà qui ressemble fort comme récit aux cadavres carbonisés de l'opération Eagle Claw, à part qu'il y a 31 ans les corps étaient entiers. Là le fait de les voir en morceaux indique bel et bien une explosion catastrophique à bord de l'appareil, qui a déchiqueté tout le monde (la fibre de carbone utilisée massivement dans l'appareil secret, déchirée, devient une vraie lame de rasoir pour hacher menu ses occupants).
Reporter : Comment êtes-vous allé à l'intérieur (de la villa) ?

Muhammad Bashir : Où ?

Reporter : Quand il y avait le feu. Muhammad Bashir : la porte était ouverte, quand il y avait le feu, la porte était ouverte.

Reporter : La porte de la maison était ouverte ?

Muhammad Bashir : La porte extérieure, la grande porte, était ouverte.





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