A peine la nouvelle tombée, nous avions bien vu le coup venir. Un général français qui a combattu en Algérie décède, la propagande contre l’Armée française et sur la culpabilisation va battre son plein. Nous ne nous étions pas trompés.
Tout d’abord, les sites de désinformation ont démontré une véritable escalade dans les titres outrageants et violents. L’Immonde s’est même permis de préciser que la perte de l’œil du général a été causée par une opération ratée, histoire de dire qu’il ne l’a pas perdu au combat. C’est le genre de détail qui peut passer inaperçu mais qui est rempli de sens.
Puis, rapidement, les médias ont voulu rappeler les positions de cet officier sur la torture. Mais l’adresse du lien, trahit le changement de titre.
La surenchère est venue de l’Aberration :
L’Immonde reprend alors le terme de « tortionnaire », les autres médias suivent :
Tous ont déblatéré un langage bien douteux : « escadrons de la mort » et « exécutions sommaires ». Des mots qui permettent aux gauchistes qui n’ont jamais connu la guerre, sinon du côté antifrançais, ni touché d’objets plus dangereux qu’un opinel, de vomir leur haine de l’armée. Car très vite, le débat est parti sur la torture en Algérie. Cela tombait à point nommé puisque la Marche des beurs, version cinématographique, connaissait un bide mémorable.
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