Des milieux diplomatiques européens à Bruxelles affirment que les faux calculs européens en Syrie sont dus à une erreur d’appréciation selon laquelle le problème principal est l’Iran et qu’une attaque israélienne contre ce pays était inévitable.
Tout le monde a ignoré qu’"Israël" ne peut pas frapper l’Iran, et ce n’est pas un hasard si trois des anciens chefs du Mossad se sont déclarés opposés à une telle attaque, après avoir pris leur retraite.
Mais avant qu’ils ne découvrent cette réalité, les Européens croyaient à la bulle de savon qui disait que l’attaque israélienne contre l’Iran était imminente. « Les Européens ont cru au bluff israélien », ajoutent les mêmes sources.
Certains ont pensé que le renversement de Bachar al-Assad aurait inéluctablement affaibli Téhéran.
Mais aujourd’hui, tous savent qu’ « Israël » ne va pas attaquer l’Iran et que le président syrien ne va pas abandonner ses pouvoirs dans un proche avenir.
Les Européens savent aussi qu’ils ne sont pas au bout de leurs peines en Syrie, où la crise peut durer des décennies, comme aux Balkans.
Ils sont conscients aussi que « les solutions politiques qui sont avancées actuellement arrivent en retard et qu’il aurait fallu les adopter au début de la crise ».
Les milieux diplomatiques européens estiment que « Bachar al-Assad peut encore rester longtemps au pouvoir et qu’il peut continuer à gouverner pour une période illimitée. C’est là le véritable souci. »
La force d’Assad tient de la force de ses soldats et de son utilisation de moyens armés. De plus, il dispose d’argent. « Il faut le contraindre à s’en aller », poursuivent les mêmes sources.
Toutefois, le problème c’est que l’Union européenne a rompu le contact avec le cercle proche de Bachar al-Assad, y compris le vice-président Farouk al-Chareh, avec lequel le chef de la coalition nationale syrienne, Ahmad Moaz al-Khatib, affirme vouloir négocier.
Source : As Safir +Mediarama
Tout le monde a ignoré qu’"Israël" ne peut pas frapper l’Iran, et ce n’est pas un hasard si trois des anciens chefs du Mossad se sont déclarés opposés à une telle attaque, après avoir pris leur retraite.
Mais avant qu’ils ne découvrent cette réalité, les Européens croyaient à la bulle de savon qui disait que l’attaque israélienne contre l’Iran était imminente. « Les Européens ont cru au bluff israélien », ajoutent les mêmes sources.
Certains ont pensé que le renversement de Bachar al-Assad aurait inéluctablement affaibli Téhéran.
Mais aujourd’hui, tous savent qu’ « Israël » ne va pas attaquer l’Iran et que le président syrien ne va pas abandonner ses pouvoirs dans un proche avenir.
Les Européens savent aussi qu’ils ne sont pas au bout de leurs peines en Syrie, où la crise peut durer des décennies, comme aux Balkans.
Ils sont conscients aussi que « les solutions politiques qui sont avancées actuellement arrivent en retard et qu’il aurait fallu les adopter au début de la crise ».
Les milieux diplomatiques européens estiment que « Bachar al-Assad peut encore rester longtemps au pouvoir et qu’il peut continuer à gouverner pour une période illimitée. C’est là le véritable souci. »
La force d’Assad tient de la force de ses soldats et de son utilisation de moyens armés. De plus, il dispose d’argent. « Il faut le contraindre à s’en aller », poursuivent les mêmes sources.
Toutefois, le problème c’est que l’Union européenne a rompu le contact avec le cercle proche de Bachar al-Assad, y compris le vice-président Farouk al-Chareh, avec lequel le chef de la coalition nationale syrienne, Ahmad Moaz al-Khatib, affirme vouloir négocier.
Source : As Safir +Mediarama
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