DSK: Brigitte Guillemette, sa deuxième épouse, est décédée

Brigitte Guillemette, la deuxième femme de Dominique Strauss-Kahn, est décédée la semaine dernière. Cette chef d’entreprise a toujours soutenu DSK dans les différentes affaires de mœurs auxquelles il a été mêlé.

Moins médiatisée qu'Anne Sinclair, au point qu'il est difficile de trouver une photo d’elle, Brigitte Guillemette a pourtant elle aussi été un
indéfectible soutien de Dominique Strauss-Kahn lorsque celui-ci a traversé ses différentes tempêtes judiciaires. Divorcée d’avec lui depuis 1989, son ex-femme n’a pas hésité à prendre sa défense au moment de l’affaire du Sofitel de New York.

Brigitte Guillemette s’est éteinte le 26 octobre dernier et son faire-part de décès a été publié dans Libération de ce week-end puis dans Le monde du 1er novembre. C’est en 1986 qu’elle a épousé DSK qui venait de divorcer d'Hélène Dumas, sa première femme. Ensemble, ils ont eu une fille Camille, en 1985. C’est avec cette dernière que l’ancien patron du FMI a déjeuné le jour de son arrestation à New York, le 14 mai 2011. Et c’est elle qui était apparue au bras d’Anne Sinclair lors de l’audience de DSK au tribunal de Manhattan.

Plus discrète, Brigitte Guillemette était néanmoins sortie de sa réserve lors du grand déballage médiatique pour apporter quelques précisions à tout ce qui était dit à l’époque. Notamment qu’elle était bien la marraine de Tristane Banon, mais davantage du fait de formalités administratives que pour liens affectifs qu'elle aurait noués avec la jeune femme et sa mère Anne Mansouret.

Brigitte Guillemette était fille de diplomate. Spécialiste en économie, elle a dirigé le groupe Corolle PR, filiale de Mattel, puis créé une société de communication, Euroscope Consulting Group.

Dominique Strauss-Kahn l’a quittée après trois ans de mariage puis a refait sa vie avec Anne Sinclair, qu’il a épousée en 1991. Le couple a divorcé en 2013. Aujourd’hui, DSK vit avec Myriam L’Aouffir, avec laquelle il s’est affichée sur les marches du dernier festival de Cannes.

source : gala.fr