Une poignée de juifs a cherché à priver une petite ville hongroise de l’hommage qu’elle avait rendu à son héros national Miklos Horthy en renommant son parc. Les israélites ont réussi à imposer un réferendum mais pas à en truquer les résultats, si bien que 18% seulement des habitants se sont déplacés pour… conserver le nom de Miklos Horthy !
Le parc en Gyomro, à la périphérie de Budapest, a été nommé « Miklos Horthy » l’année dernière suite à une motion du parti nationaliste Jobbik, le troisième plus important au parlement.
Quelques juifs ont manigancé pour obtenir un référendum, mais celui-ci a été déclaré invalide après que seulement 18 pour cent des électeurs admissibles aient voté, d’après l’agence de presse MTI.
Une grande majorité de ceux qui ont voté étaient pour conserver le nom de Miklos Horthy.
C’est à dire que concrètement, 82% n’ayant pas voté acceptaient le changement, donc étaient pour, et au moins 66% (une grande majorité) des 18% ayant voté étaient aussi pour, c’est à dire à peu près 12%, ce qui fait qu’en final, 94% de la population souhaite conserver le nom de son héros national proche d’Hitler.
Nous supposons que les 6% restants sont des juifs aidés de leurs serviteurs.
Est-il normal que la collectivité paye un référendum coûteux sur la simple volonté de quelques juifs apatrides ?
L’amiral Miklos Horthy n’est pas un quelconque héros national Hongrois, il est LE héros national hongrois. C’est lui qui a libéré la Hongrie du juif communiste sanguinaire Béla Kun en 1919, évitant ainsi à son peuple les massacres qu’ont subi Russes et Ukrainiens.
Le 1er mars 1920, il est élu régent du royaume.
Les communistes sont aussitôt exclus du débat politique et pour préserver le pays du fléau auquel il vient d’échapper, des mesures antijuives sont prises, la loi XXV instaure ainsi un numerus clausus limitant le nombre de juifs pouvant entrer à l’université et leur interdisant certaines fonctions.
En 1938, pour contrer l’offensive israélite qui cherche à déclencher une nouvelle guerre mondiale, de nouvelles lois antijuives sont promulguées, restreignant d’abord à 20 % du total le nombre de juifs dans certaines professions, dans l’administration et le commerce. Par la suite, le pourcentage sera réduit à 5 %.
D’autres lois interdisent les mariages mixtes et retirent leur nationalité hongroise à 250 000 juifs. Dans le même temps, le Régent fait interdire l’outil principal de la juiverie, la franc-maçonnerie.
En 1939, après sa première création le 23 octobre 1937 par Ferenc Szálasi, est fondé officiellement le parti des Croix fléchées fortement inspiré du Parti national-socialiste allemand.
En avril 1941, la Hongrie se joint à l’Allemagne pour lutter contre les hordes judéo-bolchéviques qui menacent d’envahir et asservir l’Europe.
La fin sera moins glorieuse, il est question de négociations secrètes avec américains et britanniques, ce qui permettra à Horthy de sauver sa tête à la fin de la guerre et de s’exiler au Portugal où il mourra à 89 ans en 1957. Son peuple, lui, tombera entre les mains des judéo-bolchéviques.
Source de l’information : telegraph.co.uk via Stormfront
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire