Mes chers compatriotes, bonjour
Je voudrais m’adresser aujourd’hui au nom du Parti solidaire Français , le mouvement épris d'humanisme et de solidarité française, à tous les hémiplégiques du bulletin de vote qui se sont fait berner comme à l’accoutumée.
A l’issue d’élections législatives affligeantes, la France tombe sous la férule du parti socialiste, le parti de l’étranger, flanqué d’écolos adeptes du « mange-merdisme » et oublieux de tous les thèmes environnementaux qui nous sont chers, d’un parti socialiste – disais-je – qui affiche avec de plus en plus de dédain pour notre peuple en souffrance, son alignement sur l’Empire mondialiste sioniste et dévoile ainsi sa véritable nature de mouvement démagogique, antipopulaire et antinational.
Le camp national voit, quant à lui, s’éloigner avec amertume la perspective joyeuse du « grand soir » que la vague « bleu marine », promise par l’héritière Le Pen et sa bande de faussaires du nationalisme, devait déclencher dans le fracas.
Ah, le réveil est bien douloureux pour les six millions ! C’est encore pire que la Pologne pour eux… Je parle, bien entendu, des électeurs du FN, ces pauvres cocus qui nous font pitié !
Le FN, qui a détourné les patriotes d’une action véritable depuis quarante ans, se trouve dans l’impasse plus que jamais.
Tournez la page, chers amis patriotes, définitivement je vous en conjure, avec ce mouvement qui est le jouet du système !
Vous avez voté pour que la montagne accouche d’une souris. Deux députés seulement représenteront la troisième force politique du pays, dont un avocat véreux et « franc-maçon » notoire, qui ne cotise même pas au parti qu’il est sensé représenter et qui tournera –soyez-en certains, les talons à la première occasion sonnante et trébuchante.
C’est Philippe Henriot qui disait : « Il y a des gens qui ne finissent jamais les guerres dans le camp où ils les ont commencées, à moins d’avoir eu le temps de trahir deux fois. »
Après un gouvernement très éclairé par les lumières de la Ménorah, le Palais Bourbon enregistre l’intrusion d’une Israélienne – qui jouit quand même, rassurez-vous – de la double nationalité. Il s’agit – je préfère lire son nom tant il est compliqué - de la nommée Daphna Poznanski-Benhamou, résidente de Tel-Aviv depuis vingt ans, élue comme députée des Français vivant à l’étranger.
Oranaise de naissance, notre nouvelle élue parmi les élus avait fui la France, en 1978, à la suite - tenez-vous bien – d’un attentat antisémite perpétré prétendument par un Groupe intitulé Charles Martel. Les auteurs de cet attentat courent toujours, vous vous en doutez bien…
Comme vous le constatez, amis français, la double élection est toujours de rigueur dans toutes les institutions de la Gueuse. Le Peuple élu garde le vent en poupe. En somme, Peppone et Don Camillo ont été remplacés, au pied levé, par Pupponi et le rabbin …
C’est pourquoi, nous comprenons mal, au Parti Solidaire Français, pourquoi les patriotes s’obstinent à stigmatiser presque exclusivement les musulmans de France et surtout ceux, d’ailleurs, dont les idées sont à l’opposé du salafisme, ce judéo-islamisme au service du Nouvel Ordre mondial. Nos patriotes s’acharnent contre ceux-là même dont la force de résistance à la vermine sioniste mérite au moins notre considération, notre respect.
Oui, le combat national mérite des cris de guerre plus en phase avec les enjeux.
Alors : A bas la ploutocratie ! Mort à la Gueuse ! Le fascisme vaincra !
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