Soumis à des pressions internationales au sujet de son programme nucléaire, l'Iran a affiché un ton plus conciliant, le 12 janvier, par la voix d'Ali Larijani, président du Parlement. En visite en Turquie, ce dernier a déclaré que son pays était "prêt à des négociations sérieuses". Quant au président Mahmoud Ahmadinejad, il a déclaré le même jour – lors de son séjour à Quito (Equateur) – que "le peuple résistera" aux pressions. Enfin, à Téhéran, le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a accusé Israël d'être à l'origine de l'attentat contre un scientifique Iranien tué le 11 janvier.
courrierinternational.com
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