L’information devait être publiée dans la revue américaine Science, mais l’agence de biosécurité américaine (Nsabb), organisme gouvernemental des États-Unis, s’y est opposée, apprend-on ce 6 décembre 2011 dans le quotidien français Le Parisien. Parce qu’il vaut mieux "prévoir que guérir" comme le dit l’adage, les chercheurs s’emploient à comprendre le fonctionnement du virus pour mieux le contrer ; mais quelquefois la fable se termine autrement, en faisant émerger le pire !... C’est en gros ainsi que l’on pourrait résumer la situation... Des chercheurs néerlandais du centre Erasmus de Rotterdam ont créé potentiellement un virus très mortel désormais soigneusement enfermé dans un laboratoire après avoir étudié la manière dont pourrait évoluer le virus H5N1 jusqu’à présent non transmissible entre humains mais uniquement d’animal à l’homme.
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