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6 mars 2013

Lindbergh et le Gal Patton ont tenté de sauver des civils allemands de la barbarie des juifs sionistes Eisenhower et Morgenthau

Les abus commis par les forces d’occupation en Allemagne atteignirent des extrémités si bestiales que diverses personnes dans la structure de commandement alliée s’y opposèrent – ou tentèrent de s’y opposer. (…) Lindbergh a raconté que les soldats américains jetaient au feu les restes de leurs repas pour qu’ils ne soient pas récupérés par les [prisonniers] allemands affamés qui se trouvaient près des barils servant de poubelles.

Il écrivit aussi :

« Dans notre pays, la presse publie des articles racontant comment nous avons ‘libéré’ les peuples opprimés. Ici, nos soldats utilisent le mot ‘libérer’ pour décrire la manière dont ils se livrent au pillage. Tout ce qu’ils prennent dans une maison allemande, tout ce qu’ils prennent à un Allemand est ‘libéré’ dans le jargon de nos troupes. Les caméras Leica sont libérées, la nourriture, les œuvres d’art, les vêtements sont libérés. Un soldat qui viole une fille allemande fait ça pour la ‘libérer’. Il y a des enfants allemands qui nous regardent manger… nos maudits règlements nous interdisent de leur donner quoi que ce soit à manger. Je me souviens du soldat Barnes, qui fut arrêté pour avoir donné une barre de chocolat à une petite fille en haillons. C’est difficile de regarder ces enfants en face. J’ai honte. Honte de moi-même, de mon peuple, quand je mange et que je regarde ces enfants. Comment avons-nous pu devenir aussi inhumains ? »

Voilà ce qu’écrivait le colonel Lindbergh, héros national des Etats-Unis, qui fut proposé comme candidat à la présidence de son pays, qui combattit dans l’aviation de son pays, qui n’était pas un nazi. De nombreux citoyens américains et britanniques honnêtes peuvent voir cela.

Le général Patton, peut-être le plus populaire des généraux américains, s’opposa immédiatement à l’application partielle ou totale du Plan Morgenthau [1] dans son secteur d’occupation. Bientôt, il eut une prise de bec avec un autre général de plus haut rang : le général Eisenhower [2]. Il est bien connu qu’ils eurent des débats extrêmement violents sur la manière dont la population civile d’Allemagne devait être traitée. Patton fut condamné à mort par les directeurs du scénario [3].

Un jour la voiture de Patton entra en collision avec un camion militaire lors de ce qui sembla être un très étrange accident. Le général fut emmené par ambulance dans un hôpital, où on constata qu’il avait des blessures sérieuses, mais ne mettant pas sa vie en danger. Mais quelques jours plus tard il mourut d’une attaque cardiaque.

La mort de Patton, en tous cas, était extrêmement opportune. Le général avait annoncé qu’il pensait à revenir aux Etats-Unis, où il allait dénoncer publiquement ce qui se passait en Allemagne. Mais il n’en eut pas le temps. Il s’était opposé à des gens trop importants. Le général Eisenhower avait dû décrocher le téléphone et ordonner qu’il soit stoppé avant d’arriver à Berlin. A Yalta, les nouveaux « maîtres du monde » s’étaient mis d’accord pour que les Soviets soient les premiers à entrer dans la capitale allemande. Patton avait voulu empêcher l’entrée des Vandales de l’Armée Rouge dans la capitale du Reich, et s’était fait un ennemi d’Eisenhower. Un mois plus tôt, il aurait pu entrer à Prague [4], mais en fut aussi empêché par Eisenhower, le laissant cloué au sol par un ordre.

Les problèmes de Patton avec les Pouvoirs de Guerre concernant l’occupation de l’Allemagne étaient si grands que Eisenhower lui retira son poste de commandant de la IIIe Armée, et lui attribua le commandement d’une unité secondaire. Patton savait qu’il était en danger de mort, et le confia même à sa famille et à ses amis proches. Il était craint à cause de son prestige – c’était le général américain le plus célèbre, alors que Eisenhower n’était rien de plus qu’un soldat politique – et ses paroles pouvaient alerter le public sur la réalité de ce qui se passait en Allemagne.

Un accident fut donc organisé, qui n’était en aucun cas le premier. Le 21 avril 1945, l’avion qui le transportait au Q.G. de la IIIe Armée à Feldfield (Angleterre) fut attaqué par ce qu’on supposa être un chasseur-bombardier allemand, mais qui se révéla être un Spitfire piloté par un pilote polonais inexpérimenté. L’avion de Patton fut touché, mais put atterrir miraculeusement. Le 3 mai, quelques jours avant la fin de la guerre, la jeep du général fut heurtée par une charrette tirée par des bœufs, mais Patton s’en tira avec des blessures légères.

La collision avec le camion eut lieu le 13 octobre 1945. Alors que Patton semblait se remettre de l’accident, une « attaque cardiaque » survint. Le fait est qu’après le 13 octobre seuls les docteurs purent voir Patton, à l’exclusion de tout autre visiteur.

Jusqu’à récemment, c’était seulement une spéculation de se demander si Patton avait été assassiné. Maintenant on sait que c’est un fait. Et on le sait pour une raison très simple. Parce qu’un agent du célèbre OSS (Office of Strategic Services), c’est-à-dire un espion militaire américain, un certain Douglas Bazata, un Juif d’origine libanaise, l’a annoncé devant 450 invités ; des anciens membres de haut rang de l’OSS, à l’Hôtel Hilton à Washington, le 25 septembre 1979. Bazata déclara, mot pour mot :

« Pour diverses raisons politiques, de nombreuses personnes de haut rang haïssaient Patton. Je sais qui l’a tué. Parce que je suis celui qui avait été payé pour le faire. Dix mille dollars. Le général William Donovan lui-même, directeur de l’OSS, m’a confié la mission. J’ai organisé l’accident. Comme il n’était pas mort dans l’accident, il fut gardé en isolement à l’hôpital, où il fut tué par une injection. »

Le sort tragique de Patton convainquit d’autres collègues et leurs compatriotes honorables de l’inutilité de combattre les Pouvoirs de Guerre. Et si un doute subsistait, l’« affaire Morgan » fut suffisante pour les dissiper.

NDT :

[1] Pendant plusieurs décennies, on a dit au grand public que le fameux Plan Morgenthau n’avait « pas été appliqué ». On sait maintenant que le plan fut partiellement appliqué de 1945 à 1948, causant la mort de plusieurs millions de civils allemands, à quoi il faut ajouter plus d’un million de prisonniers allemands exterminés par la famine dans les camps américains (et français), dont Eisenhower avait interdit l’entrée à la Croix-Rouge. Le Plan fut interrompu en 1948 à cause du début de la Guerre Froide et de la nécessité pour les USA de « récupérer » les Allemands de l’Ouest. L’opinion publique, matraquée en permanence par la propagande du Système, n’a pas encore compris qu’il y a réellement eu un génocide contre le peuple allemand, de 1943 à 1948 (par le « nettoyage au phosphore » des 58 plus grandes villes allemandes pendant la guerre, par les énormes massacres de civils allemands en Europe centrale et dans les Balkans en 1945, et enfin par le Plan Morgenthau et la quasi-extermination de millions de prisonniers de guerre allemands par les Alliés occidentaux et soviétiques). Jean-Marie Le Pen avait tenté de soulever la question dans les années 90, lors d’une conférence de presse avec le leader allemand d’extrême-droite Franz Schönhuber, mais les chiens de garde médiatiques avaient immédiatement hurlé au « scandale » et l’opinion n’avait pas saisi l’importance de ce qu’avait dit Le Pen. Mais peu à peu, la vérité perce.

[2] Eisenhower avait eu une série de promotions incroyablement rapides, contre tous les usages militaires, s’élevant en quelques années jusqu’au rang de commandant en chef des armées alliées. Une telle carrière ne peut s’expliquer que par des appuis politiques au plus haut niveau. Le général Eisenhower fit toujours preuve d’une haine intense envers les Allemands, et l’explication officielle (la colère d’un « vertueux démocrate » contre les « horribles nazis ») ne convaincra que les naïfs (à West Point, Eisenhower était surnommé « le Juif suédois » par ses camarades ; son père, David Jacob Eisenhower, 1863-1942, était effectivement un Juif suédois).

[3] Les « directeurs du scénario » étaient Roosevelt, Morgenthau, Baruch, T. Kaufman, Eisenhower, et nous savons bien ce qu’ils avaient en commun, n’est-ce pas ? [juifs sionistes]

[4] Des centaines de milliers d’Allemands furent massacrés dans les Sudètes en mai/juin 1945, par une partie de la population tchèque saisie d’une véritable frénésie sanguinaire. Les tortures infligées aux civils allemands furent inimaginables ; c’est l’une des pires atrocités de toute la Seconde Guerre mondiale. La population allemande des Sudètes fut expulsée en totalité (plus de trois millions de personnes !), dans un « nettoyage ethnique » particulièrement réussi. Le sujet est toujours tabou, même en Allemagne. Mais la République tchèque, qui est entrée dans l’Union Européenne en 2004, devra un jour faire face à son passé.


Extrait du livre : Los Crimenes De Los « Buenos » [Les crimes des « bons »], par Joaquin Bochaca.

Voir aussi : http://library.flawlesslogic.com/patton_fr.htm

Pour les atrocités tchèques dans les Sudètes en 1945, voir entre autres :

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