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22 août 2014

Les États-Unis, premiers financiers mondiaux du terrorisme


Depuis la guerre d’Afghanistan contre les Soviétiques, de nombreux auteurs ont mis en évidence le rôle des États-Unis dans le financement du terrorisme international. 

En effet, le retour impérialiste des États-Unis se voit une nouvelle fois attaquer l'Irak après la guerre de 2003 pour semble-il, une nouvelle fois pour "combattre le terrorisme". Cette fois ce ne sont plus les talibans les responsables, se sont Eiil. 
En d'autre termes le pétrole échangé avec EIIL les anime, augmentant la tyrannie, comme le compte de toutes leurs firmes.


Jusqu’à aujourd’hui, il ne s’agissait que d’actions secrètes, jamais assumées sur le moment par Washington. Un pas décisif a été franchi avec la Syrie : le Congrès a voté le financement et l’armement de deux organisations représentant Al-Qaida. Ce qui était jusque-là un secret bien gardé devient désormais la politique officielle du « pays de la liberté » : le terrorisme.



Selon les médias internationaux, le conflit oppose d’un côté, des États réunis autour de Washington et de Riyad qui prétendent défendre la démocratie et conduire la lutte mondiale contre le terrorisme, de l’autre la Syrie et ses alliés russes, diffamés en dictatures par les médias occidentaux.
Si tout le monde est conscient que l’Arabie saoudite n’est pas une démocratie, la tyrannie d’une famille et d’une secte sur tout un peuple, les États-Unis ont l’image d’une démocratie et mieux encore du « pays de la liberté ».

Or, la principale information de la semaine a été censurée dans l’ensemble des États membres de l’Otan : le Congrès des états-unis s’est réuni secrètement pour voter le financement et l’armement des « rebelles en Syrie ». Vous avez bien lu. Le Congrès tient des séances secrètes dont la presse n’a pas le droit de faire mention. C’est pourquoi l’information, originellement publiée par l’agence britannique Reuters, a été scrupuleusement ignorée par toute la presse imprimée et audio-visuelle aux États-Unis et la plupart des médias en Europe occidentale et dans le Golfe. Seuls les habitants du « reste du monde » ont eu droit à connaître la vérité.

La liberté d’expression et le droit des citoyens à l’information sont pourtant des préalables à la démocratie. Ils sont mieux respectés en Syrie et en Russie qu’en Occident.Il est clair que les «rebelles» en question ne cherchent pas à renverser l’État syrien de Bachar el assad, ils y ont renoncé, ces hommes composé à au moins 50% d'islamistes cherchant maintenant à « saigner » le pays. C’est pourquoi, ils ne se comportent pas en soldats, mais en terroristes. Vous avez encore bien lu : les États-Unis, prétendues victimes d’Al-Qaida le 11 septembre 2001 et depuis leaders de la « guerre globale au terrorisme », financent le principal foyer de terrorisme international où agissent deux organisations officiellement subordonnées à Al-Qaida (le front al-nosra et l’émirat islamique d’Irak et du Levant). Il ne s’agit plus là d’une manœuvre obscure des services secrets, mais d’une loi, pleinement assumée, même si elle a été adoptée à huis clos de manière à ne pas contredire la propagande.
C'est bien connu, la Syrie ayant pris un pouvoir colossal étant un danger pour l'Empire à dû être fragilisé


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