Dieudonné est formel : c’est son demi-frère, qui lui ressemble beaucoup, qui aurait violenté l’huissier ce fameux soir de janvier.
C’était pas moi, c’était mon frère. Voici la version que Dieudonné a plaidée le 22 janvier dernier face aux gendarmes, alors qu’il avait été mis en garde à vue, soupçonné d’avoir reçu à coup de paintball un huissier venu se présenter, deux jours auparavant, à son domicile de Mesnil-Simon.
L’huissier, qui était venu signifier à Dieudonné une injonction à régler ses amendes impayées, avait porté plainte contre l’humoriste et son épouse Noémie Montagne pour violences suite à cet accueil musclé.
Or d’après Europe 1, Dieudonné est formel : il n’était pas là ce soir-là mais chez un ami à quelques kilomètres. Il assure que c’est son demi-frère, qui lui ressemble beaucoup, qui aurait violenté l’huissier ce fameux soir de janvier.
Les gendarmes refusent pour l’heure de se prononcer sur la question. « C’est du 50/50″, résume l’un d’eux, sondé par Europe 1. D’après Dieudonné, ce frère, dont il aurait donné le nom, serait de nationalité camerounaise et en situation irrégulière en France. Les enquêteurs sont à sa recherche, mais il est inconnu des services de police et de la justice. Les enquêteurs attendent les résultats des expertises téléphoniques et ADN, afin de se faire un avis plus tranché. A suivre.
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Le National Emancipé 2014
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