Pour son premier acte de politique étrangère, le gouvernement du président Maduro a organisé à Caracas une réunion du Comité de Défense des Droits du Peuple Palestinien qui rassemble une cinquantaine de pays (1) et a renouvelé le soutien absolu du Venezuela bolivarien à l’État de Palestine et à sa reconnaissance comme membre à part entière de l’ONU.
« Nous allons continuer la lutte pour la reconnaissance intégrale de la Palestine » a expliqué le chancelier vénézuélien, rappelant que cette réunion à Caracas « s’inscrit dans la continuité de la politique étrangère de Hugo Chavez et que continuera le président Nicolas Maduro : appuyer, à n’importe quel prix, la cause du peuple palestinien. Ce Comité pour les Droits de la Palestine n’aurait pu se réunir aujourd’hui au Venezuela s’il n’y existait un gouvernement indépendant, souverain, socialiste, et révolutionnaire ». Elías Jaua a dénoncé le refus du gouvernement israélien d’appliquer les résolutions émises par les Nations Unies et a manifesté sa solidarité avec les prisonniers palestiniens.
« Nous allons continuer la lutte pour la reconnaissance intégrale de la Palestine » a expliqué le chancelier vénézuélien, rappelant que cette réunion à Caracas « s’inscrit dans la continuité de la politique étrangère de Hugo Chavez et que continuera le président Nicolas Maduro : appuyer, à n’importe quel prix, la cause du peuple palestinien. Ce Comité pour les Droits de la Palestine n’aurait pu se réunir aujourd’hui au Venezuela s’il n’y existait un gouvernement indépendant, souverain, socialiste, et révolutionnaire ». Elías Jaua a dénoncé le refus du gouvernement israélien d’appliquer les résolutions émises par les Nations Unies et a manifesté sa solidarité avec les prisonniers palestiniens.