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18 avr. 2013

Des armes prohibées utilisées par l’OTAN contre la Serbie en 1999

Милован ДрецунComme me l’a raconté, en 1999, Milovan Drecun, alors correspondant de guerre, pour lui le début des bombardements n’a pas été une surprise. Deux semaines avant l’opération ‘Ange de Paix’, il s’est rendu au Kosovo en tant que correspondant pour la chaine d’Etat serbe RTS. 

« Le 24 mars, j’étais à Pristina. Et à 20h, quand l’aviation a commencé à bombarder le Kosovo, j’étais dans la rue. A ce moment-là, un premier missile s’est dirigé vers la base militaire de Pristina. Les bombardements ont détruit l’aérodrome ‘Staline’. Nous ne savons pas depuis lors quels armements ont été utilisés contre nous. Cette information n’est diffusée nulle part, et à Bruxelles, personne ne dit rien à ce sujet. Le commandement américain s’est bien tenu alors d’informer la communauté internationale sur les ‘tomahawks’, les bombes à implosion et à fragmentation, qu’ils ont largué pendant près de trois mois sur la tête de la population locale, mais aussi sur le complexe industriel et stratégique ».

Vingt-cinq vérités sur les élections présidentielles au Venezuela

Les enquêtes d’opinion se sont révélées fausses et la campagne de l’opposition a été un succès. 

1. Nicolás Maduro a obtenu 7 505 338 voix, soit 50,66 % des suffrages exprimés.

2. Henrique Capriles a obtenu 7 270 403 voix, soit 49,07 % des votes.

3. 38 756 électeurs ont voté blanc ou nul, soit 0,26 %.

4. La participation électorale a été de 78,71 %.

L'embarrassant contrat entre l'armée française et Microsoft

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, le 12 avril 2013 (IGUEL MEDINA / AFP)Un risque d'espionnage informatique par les renseignements américains, un coût supplémentaire de 3 millions d'euros, aucun appel d'offres...

"L'armée capitule face à Microsoft". Ainsi titre le "Canard Enchaîné", qui dans son édition du 17 avril que le ministère de la Défense serait sur le point de reconduire un contrat "qui coûte cher, qui augmente les risques d'espionnage et qui se négocie dans un paradis fiscal". Un contrat avec le géant américain de l'informatique Microsoft. Contacté par le "Nouvel Observateur", Microsoft n'a pas encore répondu à nos demandes d'informations.