Parfois critiqué pour ses rapports avec des milieux très critiques à l’égard de la politique israélienne, l’ancien résistant, qui avait été déporté à Buchenwald à la fin de la deuxième guerre, se voit qualifié d’«antisémite» sur le statut de la LDJ Paris.
Le mouvement, réputé pour sa radicalité, s’est ainsi fendu d’un «champagne» et d’un «Repose en paix, en enfer» concernant l’ancien militant. Ses commentaires font l’objet de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux.