Une nouvelle plutôt intéressante dans la mesure où cela prouve une fois encore que les Palestiniens préfèrent être des citoyens étrangers plutôt que de rester des pions utilisés par les dirigeants du monde arabe, leur promettant un « retour » sur une terre où ils n’ont jamais vécu !
Et cela prouve encore que le problème « des réfugiés » palestiniens pourrait être résolu en deux temps, trois mouvements. Pour cela, il faudrait que les pays musulmans cessent leur apartheid anti-Palestiniens. Dès lors, au Liban, en Jordanie, dans les Emirats et partout ailleurs, si l’on donnait définitivement la nationalité locale aux arrières petits enfants de Palestiniens de 1948, alors, il n’y aurait plus de crise au Proche-Orient.