«Le fait d'utiliser ces animaux sauvages nous permettra d'établir une carte précise des niveaux de radiation». Crédits photo : © Issei Kato / Reuters/REUTERS |
Pour mesurer la radioactivité dans les zones contaminées inaccessibles, des scientifiques de l'université de Fukushima ont eu l'idée d'équiper des sangliers et des macaques japonais de GPS et de dosimètres.
Éric Besson n'est pas le seul à se rendre sur le site de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, dévastée par le tsunami meurtrier du 11 mars 2011 et dans les zones contaminées par les rejets de radioactivité. D'autres visiteurs, d'un genre très différent, ont précédé le ministre français de l'Industrie dans ces territoires interdits que les autorités japonaises veulent à tout prix assainir pour les rendre, un jour peut-être, de nouveau habitables.